Le bouillonnement et les tensions sont à leur comble dans la wilaya de Djelfa. La société civile, et le mouvement associatif de la commune d' Ain El Ibel manifestent le désir de voir partir l'actuel chef de daïra d'Ain El Ibel et son secrétaire général. Ils sont soupçonnés d'avoir semé la zizanie et la discorde dans une commune réputée par son calme et sa sérénité. Selon une source d'information, la commune d'Aïn Ain E Ibel demeure aujourd'hui plus que jamais, menacée par la foudre de la discorde et de la division, qui la guette pour la déstabiliser. Cette situation déplorable est l'apanage de la présence du chef de daïra, qui est devenue en dehors de sa sphère administrative, un ring de boxe avec la connivence du secrétaire général pour des causes que nul ne peut savoir selon la même source d'informations. Ce comportement déplorable de ces deux responsables avait poussé les citoyens à prendre de différents partis, entre adhérent à celui-ci et non partisan de l'autre, pour que ce conflit qui n'est en fait que le fruit du tempérament du chef de daïra puisse contaminer l'assemblée populaire communale, cette dernière habituée à une discipline et une cohésion irréprochable entre les membres qui constituent cette assemblée. La requête des mouvements associatifs et de la société civile adressée au ministre de l'intérieur et des collectivités locales, laquelle avait fait l'objet d'une mise au point par la commission d'enquête dès son arrivée à la daïra d' Ain El ibel, une mission qui rentre dans le cadre d'une enquête sur la situation d'anarchie, et de discorde qui prévaut, générant ainsi une campagne médiatique diffamatoire jamais égalée dans l'existence de cette paisible daira, salissant piètrement son image selon la même source d'information. La même requête avance que la campagne médiatique est le fruit du chef de daira et de son secrétaire général, et qui tend en harmonie avec leur intérêt personnel, sans tenir compte des intérêts de la daira et de ses habitants selon la même source. La requête mentionne également que la goutte d'eau qui avait débordé le vase est du aux différentes déclarations diffamatoires et obscènes du chef de daira à l'encontre des jeunes et des habitants de cette daira. La situation est devenue insoutenables par la société civile et les mouvements associatifs qui perçoivent qu'il est temps de remédier à ce marasme, et à cette situation anarchique, que par l'exigence inaliénable et inconditionnelle du départ du chef de daira et son secrétaire qui sont devenus deux personnes non grata par l'ensemble de la population du fait qu'ils se sont mal comporté envers le citoyen et créer ce climat de confusion et d'anarchie.