De nombreux jeune se trouvent sans emploi ! Comment accompagner les stagiaires avant, pendant et après ou dans la phase de création d'entreprise ? Malgré l'effort fournis par l'Etat, le nombreux de stagiaires ne cesse de diminuer notamment dans les spécialités dites manuelles, telles que celles du bâtiment, les travaux publics et de l'agriculture, où les effectifs sont très réduits du fait d'un manque de sensibilisation, valorisation de ces métiers, une pénurie de main-d'œuvre touche tous les secteurs, réhabiliter des métiers, créer de nouvelles spécialités qui correspondent à la réalité du terrain qui seront introduire dans la nomenclature des spécialités une nécessité, a titre d'exemple formation dans l'entretien des équipements de la santé, la maintenance du matériels de santé, l'énergie renouvelable, l'eau, et les métiers de l'internet. 1200 établissements à l'échelle national, 55 000 fonctionnaires dont 25 000 enseignants, peuvent accueillir plus de 700 000 jeunes, 212 spécialités dont 80 proposent au jeunes ayant un niveau inférieur à la quatrième moyenne a travers le territoire national, qui seront mis a la disposition des jeunes désireux d'acquérir une formation qualifiante. Le secteur de la formation et de l'enseignement professionnels constitue l'un des trois segments du système national d'éducation et de formation (Ministère de l'Education Nationale, Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Ministère de la Formation et de l'Enseignement Professionnels). Il constitue un secteur stratégique important dans le développement économique et social du pays qui se fixe un double objectif : Assurer la formation d'une main d'œuvre qualifiée, répondant aux exigences et aux besoins du marché du travail, à travers notamment la formation résidentielle et la formation par apprentissage. Assurer la formation, la reconversion, le perfectionnement et le recyclage des travailleurs par le biais de la formation continue. Il dispose d'un vaste réseau d'établissements et de structures de formation répartis à travers le territoire national, dispensant des formations qualifiantes et diplômâtes couvrant une large gamme de spécialités, dans divers modes et niveaux de qualifications. Conscient de l'importance du rôle des femmes dans le développement économique et social, l'Etat a mis en place, à travers une politique cohérente et intégrée, plusieurs programmes et dispositifs destinés à insérer dans la vie active et à promouvoir les femmes en général et, en particulier, les femmes en milieu rural et celles au foyer. LES MESURES SELON LE MINISTRE -Reconsidération des diplômes délivrés par le secteur afin qu'ils soient en adéquation aux exigences du marché du travail. -La nécessité de la réhabilitation de la formation professionnelle et des métiers en général et la création de nouvelles spécialités dans le cadre des besoins locaux et du marché du travail. -La nécessité de sensibiliser les jeunes à l'importance de la formation professionnelle et de les encourager à s'orienter vers les métiers et les professions reconnaissant. -La formation professionnelle comptait 212 spécialités sanctionnées par des diplômes, et dont 80 sont destinées aux jeunes ayant un niveau de 4ème année moyenne, rappelant dans ce cadre que “le décret relatif aux conditions d'accès aux établissements de la formation professionnelle a été abrogé. -La nouvelle stratégie du secteur prenait en considération les développements en matière de technologies comme le dessalement de l'eau de mer et l'énergie solaire. -La vulgarisation de la formation, notamment en direction des femmes au foyer dans les hauts plateaux et les zones rurales. -Cinq centres de formation itinérants seront mis en place cette année dans les régions des hauts plateaux et du Sahara. - La révision des méthodes d'orientation en général après la fin du cycle d'enseignement obligatoire, soit à l'âge de 16 ans. -Formation continue annonçant la formation d'encadreurs dans les spécialités des nouvelles technologies en collaboration avec d'autres pays. À Mascara, les responsables du Centre de formation professionnelle “Titoui Ali-Chérif" de la ville de Sig, située au nord de la wilaya ont fait remarquer que l'annulation de la circulaire exigeant un niveau de la 4ème année moyenne pour bénéficier d'une formation a contribué d'une manière sensible à encourager les jeunes à s'inscrire dans son établissement. , entendent relancer certains métiers menacés de disparition dont la fabrication de tonneaux en bois ou le travail de l'Alfa, a indiqué le directeur de cet établissement.