La commune de Z'malet-Emir Abdelkader est un véritable reflet de la marginalisation, un douillet berceau de l'enclavement, et surtout un repère d'oubli, et à vrai dire, cette synthèse a été une déduction implicite de Mr le wali, Hadj Bentouati Abdessalem, qui s'est heurté à un climat de vie proche du désarroi, et sans attendre, des décisions très courageuses ont été prises sur terrain lors de la visite qui l'a menée dans cette commune distante du chef-lieu de wilaya de près de 165 km et frontalière avec la wilaya de Djelfa, et aussi une grande fenêtre avec le Samara, et avec un sens talentueux et un esprit d'éducateur, et là c'est une empreinte spécifique au wali qui porte le grand souci de l'enfant de demain, le chef de l'exécutif a ordonné la réalisation de 6 classes au lycée de Z'malet-Emir Abdelkader (Ex-Taguine) au suivi de la programmation de demi-pension s'ouvrant à 200 repas dans de brefs délais dans l'objectif d'éradiquer les effets néfastes du surnombre des élèves. A cela s'ajoute la décision de réalisation d'une salle de sport, et une virée au stade communal a rendu les regards du wali fortement cléments à l'adresse d'une jeunesse, déjà « désarmée » de tous les outils de contact avec l'avenir, et a ordonné l'injection d'une enveloppe s'évaluant à 2.800.000,00 DA pour l'étude et s'en suivra la procédure de revêtement du stade en gazon synthétique. Un geste, qui certes trouvera son honneur et ses éloges tant que les applaudissements hanteront les gradins de ce stade qui vient de sortir des « cendres » Souffler la vie est devenu un message à la manière d'être du wali qui vient de prendre une décision très courageuse et peut-être à l'échelle nationale et espérant qu'elle soit généralisée sur tout le territoire national. En effet, les locaux commerciaux désignés comme étant les locaux relevant du programme du président de la République et lesquels ont été pris en otage par des desseins bestiaux (délinquance, prostitution et lieux favoris de débauche) tout en soulignant que leur implantation a obéi à des décisions brusquées et irréfléchies, sans quelconque étude socio-économique et de ce fait se mariant aux mêmes décisions qui ont régi l'habitat rural, viennent d'être au menu des « initiatives salutaires ». En effet, ces locaux commerciaux seront pris en charge par les A.P.C et seront loués pour devenir objet de recettes communales, et cette décision a touché tous les équipements publics à vocation de prestations.