ADEL Kaddour El-Eulma le 11/02/2010 Demeurant à Commune Belhouchet Bir El-Arch El-Eulma wilaya de Sétif A Monsieur le directeur général du Journal Réflexion J'ai le regret de vous informer toute ma colère sur ce qui a été publié à l'encontre de ma personne dans votre journal du 23.12.2009 numéro 421 sous le titre « Une veuve violée par un imam ». Une histoire rocambolesque dénuée de tout fondement racontée par la nommée BENAMARA Sissi Sonia, ma femme légitime, qui prétend que je l'avais épousé par la force et par je ne sais quel subterfuge etc … Toute l'histoire racontée par ma femme BENAMARA Samia dite Sissi Sonia n'est que de la fiction. La réalité est que nous nous sommes mariés conformément aux préceptes de notre religion l'Islam et en application de la législation algérienne en vigueur, le mariage a été transcrit légalement à l'état civil de la commune de Bir-El-Arch en date du 21.01.2007 sous le n° 004, dont ci-joint copie de notre acte de mariage, contrairement à ses déclarations qui n'ont aucun sens et qui voulait faire croire à qui veut l'entendre que notre mariage n,'était qu'une ruse. Et comme il est indiqué sur l'acte de mariage, mon épouse n'a pas effectué sa première visite en Algérie en Août 2009 comme rapporté dans votre journal mais bien des années auparavant. Le décès de son fils a eu lieu neufs mois après notre mariage c'est-à-dire le 06.09.2007 et non pas avant notre rencontre comme c'est publié dans l'article, ci-joint la photo de la tombe du défunt où est inscrit la date du décès sur l'épitaphe. Par ailleurs, je tiens à préciser qu'aucune enquête n'a été ouverte par la gendarmerie nationale de Bir-El-Arch concernant la disparition de ma femme, sinon j'aurai été inquiété par les services concernés d'autant plus qu'il s'agissait d'une ressortissante étrangère. Comme je confirme qu'il n'ya aucune affaire inscrite au rôle au niveau de la justice. De ce fait, et vu que les informations publiées sont dénuées de tout fondement et qu'il s'agit d'un article qui a porté atteinte à mon honneur et à celui de ma famille, je demande à ce que des excuses soient publiées dans votre journal, dans le cas contraire, je me réserve le droit d'entamer les procédures règlementaires pour préserver ma dignité et mon honneur. Dans l'attente d'une réponse favorable, veuillez agréer, monsieur, l'expression de notre profond respect. L'intéressé