Le colonel en retraite, Ahmed Radi, a dévoilé les manigances des egyptiens durant la guerre contre l'ennemi sioniste en octobre 1973. Le Colonel dira que six mois avant le déclenchement de la guerre d'octobre 1973, une partie des avions algériens, Mig 21, s'est installée secrètement dans le territoire libyen sur ordre du Président Houari Boumediene Entre 14 et 20 appareils (une escadrille) prêts au combat. C'était une première escadrille. Officiellement les appareils se trouvaient en Libye dans le cadre des échanges entre les deux pays. Les autres escadrilles avaient suivi dès le déclanchement de la guerre le 5 octobre 1973. Deux escadrilles de Mig 17 et la quatrième escadrille était formée d'avion sokhoï 7. Au total l'Algérie avait participé avec 80 avions de guerre avec une participation de 1000 militaires de l'armée de l'air, pour l'entretien et l'armement des appareils, il fallait 100 militaires entre Techniciens, ravitailleurs, radio et mécaniciens affectés à chaque appareil. Certains pilotes algériens avaient atterri sur des routes, suite à la désorganisation totale des egyptiens, durant les premiers jours de la bataille. Les pilotes algériens cherchaient eux-mêmes des aérodromes pour atterrir, les uns avaient atterri à Halouane et kamouchine à l'Ouest du Caire. D'autres se sont dirigés à Oued Guina (Bab El Mendeb) tous prés de l'ennemi sioniste.(la mer rouge) Le Complot des egyptiens qui visait à détruire 14 avions algériens qui combattaient pour l'Egypte Le Colonel Ahmed Radi, raconte comment toute une escadrille de Mig algériens était visée par la destruction. Cette escadrille de Mig devrait décoller de Kamouchine vers Halouane un vol d'une durée de 15 minutes. Que seul L'Etat Major egyptien était informé de ce mouvement secret. Seulement les pilotes algériens ont retardé le départ pour une question d'organisation de vol, ce retard leur a sauvé la vie et les appareils, car l'ennemi sioniste était informé de la minute où les appareils algériens se poseraient sur le tarmac de l'aérodrome de Halouane et qui a été bombardé à cette instant. Le chef d'Etat Major de l'aviation Egyptienne à cette époque était le Général Hosni Moubarak. L'aviation algérienne qui défendait le sol égyptien, payait aux égyptiens le prix du kérosène et le transport des hommes !!! Le colonel Ahmed Radi, surpris de la décision des Egyptiens de vouloir garder les appareils algériens et toute l'armement en Egypte Mais, Houari Boumediene, donna l'ordre en 1975 à tous les militaires de rentrer en Algérie avec les appareils et toute l'armement. Pendant toute la présence des appareils sur le sol Egyptien, alors que nous défendons l'Egypte, L'Etat Major Egyptienne nous a fait toujours payer le Kérosène, et les déplacements de nos troupes un transport payé par l'Algérie dira le Colonel Radi. Moubarak traite le Colonel algérien de juif !? Dans cette guerre, l'Algérie a perdu 300 héros parmi l'armée de l'aviation. Notre Colonel a perdu ses proches amis : Drif Mohamed, Ghafour, Talach Nabil et Zaïdi parmi tant d'autres chouhadas. Alors qu'il se rappelle de la visite d'inspection effectuée par le Général Mohamed Hosni Moubarak en observant l'officier Ahmed Radi, Moubarak lui dit : » Vous ! Vous êtes Algérien ? On ne dirait pas. » Notre Colonel était un blanc aux cheveux jaune, il lui répond : « Oui Mon Général, nous somme de l'Afrique du Nord et beaucoup parmi nous ont la peau très blanche » Moubarak rétorqua : « J'ai cru que vous étiez un juif ! » (Voila, c'est le dictateur de l'Egypte, qui a réuni chez lui les sionistes et leur nid du Mossad au centre du Caire, et l'antenne de l'écoute à Charm Ec-Cheikh. Il Traite - Sideh- de juif.. Alors qu'il n'était que le patron de l'aviation. Il a oublié son séjour en Algérie et sa détention au Maroc en 1963.Et comment il n'a pas été visé, lors de l'assassinat du Sadate, par des terroristes manipulés par Israël. Car Sadate était sur le point de dénoncer les accords de Camp David. Et Moubarak était l'homme des Américains qu'il fallait pour le remplacer. La suite est très connue chez tous les Barbouzes). Quant aux motivations qui ont poussé le Colonel Radi, à parler aujourd'hui. Il dira que suite aux atteintes à nos chouhada et à notre patrie l'Algérie par les médias et responsables Egyptiens, que j'ai décidé de parler de cette trahison longtemps gardée dans la confidence. En 1976, avec le très bon Omar Gatlato « Omar, sa virilité le tue ! ».L'odyssée tragique des candidats à l'émigration est en effet racontée a posteriori, par un témoin, en voix off. C'est lui qui retrace la destinée de la petite embarcation qui quitte la côte de Mostaganem, à l'ouest d'Alger, pour tenter de gagner les Canaries. Sous la conduite d'un passeur, les dix passagers connaîtront le sort de milliers de leurs semblables, parfois arrivés à bon port, mais plus souvent encore, nul ne le sait, disparus en mer ou arrêté …Les avis sont partagés sur un film qui sera distribué en France. Il a en tout cas le mérite d'avoir donné leur chance à un groupe de très jeunes acteurs, issus de l'Institut national des arts dramatiques d'Alger ou encore du Théâtre de Mostaganem. Il rappelle également l'existence d'un cinéma algérien qui continue à produire en dépit des impasses de la société algérienne. Après une longue éclipse, ont montré comment de jeunes réalisateurs étaient capables d'œuvres marquantes, malgré toutes les difficultés. Des propos qui nous rappellent que les vraies questions – malgré tous les commentaires nauséabonds à propos des sandwichs halal et autres burqas – sont posées par l'accélération de la mondialisation qui rend insupportables les écarts de richesse entre les pays de la décolonisation et ceux du Nord de la Méditerranée.Une Méditerranée aujourd'hui devenue, le cimetière de ceux qui ont un rêve.