Demain, l'Algérie célébrera, à l'instar des pays du monde, la journée internationale du vivre-ensemble. Cette première édition reste un évènement dont la consécration au niveau mondial n'a été que le fruit d'une initiative, purement ‘'algérienne'', puisée de sa propre expérience et tendant à la promotion de la culture de la paix et de la réconciliation nationale. Ce projet avait été formulé, en 2014 lors d'un congrès à Oran, par l'Association internationale soufie alawiya (AISA), une ONG affiliée à l'Association Cheikh El Alawi, Khaled Bentounès pour la culture et l'éducation soufie, basée à Mostaganem. Il a été ensuite adopté par consensus par les pays membres de l'Organisation des Nations unies (ONU) en décembre dernier (Résolution 72/130 de l'Assemblée générale). Son objectif tend à la mobilisation continue des efforts déployés par le Président de la Republique, M. Abdelaziz Bouteflika et la communauté internationale en faveur de la paix, de la tolérance, de l'inclusion, de la compréhension et de la fraternité. L'institution de cette journée ne reflète que la réussite du travail accompli par la diplomatie algérienne qui a obtenu l'adhésion de l'ensemble des pays. La résolution 72/130 de l'Assemblée générale de l'organisation des Nations unies vient de proclamer le 16 mai Journée internationale du vivre-ensemble en paix en tant que moyen de mobiliser régulièrement les efforts de la communauté internationale en faveur de la paix, de la tolérance, de l'inclusion, de la compréhension et de la solidarité. Cette journée est l'occasion pour tous d'exprimer le désir profond de vivre et d'agir ensemble, unis dans la différence et dans la diversité, en vue de bâtir un monde viable reposant sur la paix, la solidarité et l'harmonie. Aujourd'hui, l'Algérie ne peut être fière de cette nouvelle journée, dont elle l'initiatrice et surtout d'être la capitale mondiale de la paix, par le vivre-ensemble qu'elle a toujours prêché, de par son capital d'expérience en la matière.