La politicard, Naima Salhi, le nouveau spécimen des islamistes radicaux en kamis féminin vient encore une fois démontrer sa folie et son racisme envers les kabyles en humiliant les habitants de la wilaya de Mascara ! « Vous avez laissé vos enfants apprendre le tamazight dans les écoles ! Vous allez le regretter et vous allez pleurer comme des femmes ? » A écrit la députée du parti PEP sur sa page Facebook ! Trempée jusqu'aux os dans les scandales politiques, Naïma Salhi, fait encore parler d'elle en provoquant, une nouvelle fois une polémique autour de la généralisation de l'enseignement du tamazight. Par sa stupidité, son racisme, son ignorance et sa haine, elle enfonce l'identité algérienne, en enfonçant la dignité des hommes ‘'moustachus'' de la ville de l'Emir Abdelkader, le fondateur de l'Etat algérien.'' Vous allez pleurer comme des femmes ‘'sans honte ! Elle l'écrit froidement sur son mur, en s'adressant à une population conservatrice, d'où les femmes dignes de porter le ‘'Hayek'' algérien et le ‘'jilbab'' arabe ne peuvent prononcer de tels propos devant les hommes. Les pleurs des hommes sont sacrés dans cette région et dans toutes les régions d'Algérie et voilà que madame la musulmane ose s'adresser aux fils de l'Emir par ses propos indécents ! En débarquant cette fois-ci en habit de scorpion pour vider son venin dans la peau des enfants de la tribu des Hachem. Sans honte ni respects, elle s'attaque aux habitants de la ville de Mascara qui a enfanté la résistance algérienne en employant des mots déplacés, soutenant à les humilier pour avoir adopté la langue Berbère dans leurs écoles. La pire ennemi de la langue tamazight, qui dit en direct devant des millions d'algériens, capable de tuer sa fille si elle opte pour cette langue. Cette dame qui porte la haine contre tout ce qui est bon pour l'Algérie et envers les Amazighs en particulier et qui circule en toute liberté, profitant de son immunité parlementaire, n'hésite pas à s'opposer au projet fondamental de la nation, l'officialisation de la langue tamazigh comme deuxième langue nationale, un droit prescrit dans la constitution et préservé par le chef de l'Etat. De par la fitna qu'elle a créé au sein de la population et qui continue d'alimenter les réseaux sociaux, elle s'emballe encore dans les affaires étrangères. Tantôt elle accuse les subsahariens de maladie et tantôt elle se mesure à la première dame de la Croatie, en disant qu'elle est meilleure et plus populaire que la présidente de la Croatie Kolinda Kitarović. Mais aller jusqu'à montrer le congrès de la Soummam de trahison, là elle a dépassé les limites ! Le comportement dangereux de cette députée est devenu une menace pour l'unité et la stabilité du pays. Par ses interventions racistes envers les kabyles, à l'intérieur du pays et ses propos racistes contre les migrants issus d'Afrique subsaharienne les accusant de propager « les maladies et la sorcellerie », elle porte atteinte aussi à l'image de l'Algérie au niveau mondial mettant en souffrance tous les efforts de la diplomatie algérienne qui vise à consolider son statut de l'Algérie au niveau mondial. Et après avoir semé la pagaille dans tout le territoire algérien elle revient en pleurs sur sa page Facebook pour annoncer qu'elle est menacée de mort et supplie Mustapha Lahbiri de la protéger et surtout de ne pas lui retirer ses avantages pour contourner l'instruction de la DGSN concernant la récupération de tous les véhicules et gardes du corps mis à la disposition des personnalités qui ne sont pas en fonction.