La dénonciation pour certains députés placés sur fond de ‘'Chkara'' et de fidélité au clan Boutef est condamnable à la « peine de mort». Elle est aujourd'hui le fait d'un député d'Oran d'obédience FLN, ‘'avocat des oligarques '' qui érige une menace de mort bien pesante contre le journaliste de Réflexion, interdisant la liberté d'expression. Moul Firma, s'est déplacé hier à Oran pour enquêter sur les propos menaçants d'un député d'Ould Abbes, et les causes de cette crise de colère qui a poussé le député Hariz Amine à perdre son sang-froid jusqu'à menacer, le journaliste Madjadji Habib de mort ! Attablés, lui et son collègue à la terrasse d'un café, aux alentours du siège de la willaya d'Oran, Moul Firma, en mission spéciale, ouvre, le dossier de l'avocat des squatteurs du Foncier d'Oran. Le pauvre collaborateur de Moul Firma, un simple citoyen qui n'a d'arme qu'un stylo et une petite caméra pour dénoncer les malversations et défendre l'intérêt du peuple, devient malheureusement la cible d'une horde de Mafia, qui s'est enrichie via les réseaux du cercle du clan de (Saidou),le frère de l'ancien Rais, et le soutien des élus du peuple »,qui à l'heure du Hirak , vient de mettre la tête du journaliste aux enchères pour avoir dénoncer le détournement d'une assiette foncière d'utilité publique par un particulier . Le journaliste informe Moul Firma, que le député du FLN d'Oran Hariz Amine l'a menacé de mort avec des propos indécents à la salle de conférence CCI à Alger devant des cadres du parti FLN, lors des rencontres nationales des cadres du parti FLN, pour avoir dévoiler le dessous de l'affaire du détournement du stade de proximité de la cité Saint Germain dans la commune d'Ain Turk au profit d'un promoteur immobilier. Ajoutant que suite à l'article publié dans le quotidien Réflexion, le wali d'Oran, s'est déplacé sur les lieux pour constater de visu le terrain de proximité d'une superficie de 4200 m2 et a annulé la décision d'affection sur place, tout en ordonnant l'ouverture d'une enquête. Une décision qui a été appréciée par les habitants d'Ain Turc, mais elle a, en outre offensé le dit-député. Brusqué par une telle décision, le député perd les pédales et s'en prend au dénonciateur ! Raconte le journaliste. Eh bien dira Moul Firma à son ami, ''la wilaya Oran n'est pas encore à l'abri de l'emprise des oligarques ! Et moi qui croyais, que ces politiciens en carton et ces milliardaires qui ont bouffé l'argent des banques seront trainés dans la boue des scandales des Kouninefs, Haddad, Hamel, l'ancien wali d'Oran et leur parrain du FLN, Ould Abbés ! Moul Firma, accrédité par le directeur du Journal, dira au député des oligarques, qu'une demande en public est lancée aux services de sécurités d'Oran pour enquêter sur ces menaces et faire leur travail selon la loi en vigueur ! Mais Réflexion, ne se laissera pas avoir, il met en défi ce député, en lui annonçant, que désormais, il est sous la loupe de Moul Firma, soit il est propre, et non mouillé dans cette affaire de stade, et d'autres affaires de foncier, et Réflexion, sans gêne le félicitera publiquement avec des excuses en Or ! Soit il tombera à pic dans les filets de l'enquêteur de Réflexion, et là, si le journal aura des preuves suffisantes pour son implication dans des affaires de malversations et abus de pouvoir, il va déposer lui-même une plainte devant la justice contre lui ! Le pari est ouvert, et il y'aura toujours un perdant !