Le président du mouvement el bina, Abdelkader Bengrina, a critiqué, dans sa nouvelle sortie médiatique l'article 4 du projet de la révision de la Constitution. Dans un communiqué rendu public sur la page de son parti, Bengrina a qualifié l'article 4, stipulant la langue tamazight comme langue nationale, du « résidu du clan de la issaba » et un héritage de la constitution de président déchu Abdeleziz Bouteflika. « La négativité flagrante de ce projet est de garder l'article 4 tel qu'il est, malgré que c'est l'héritage empoisonné de régime de la issaba et de le constitution de Bouteflika », a écrit Bengrina. « L'Algérie et la nation algérienne sont une et unies avec son histoire, son destin, ses frontières, son drapeau, sa religion et sa langue, la langue de coran », a ajouté Bengrina, soulignant qu' « il n'y aura pas de deuxième langue en Algérie pour les raisons objectives et constitutionnelles ».