La nuit du 05 au 06 août 2010, aux environs de 2h15 mn, a été blanche pour certains habitants du quartier « Serridj2 »relevant de la commune de Takhmaret. Ce quartier, faudrait-il le rappeler, s'ouvre à un relief très accidenté où les services de police judiciaire relevant de la sûreté extra-muros de Takhmaret trouvent beaucoup de difficultés à cela, s'ajoute l'absence totale de ruelles aménagées tout en notant que le déficit en véhicules tout terrain serait un grand obstacle pour les services de police de Takhmaret où plusieurs quartiers s'exposent au noir et dont les rues sont très accidentées. Ces mobiles ont permis à certains voleurs d'agir et de commettre leurs sales besognes en toute quiétude, chapeautés par un défaitisme citoyen qui ne dit pas son nom. Par ailleurs, et pour relever le défi, et selon des observateurs, et compte tenu de la spécificité de la commune de Takhmaret, l'inter compétence territoriale sécuritaire devrait être revue dans le cadre de la répartition de la carte sécuritaire comme nous a avancé l'ex- Commandant de groupement de la Gendarmerie Nationale de Tiaret, lequel était toujours à l'écoute des aspirations citoyennes et avait déployé beaucoup d'efforts comme l'atteste le bilan des activités du Darak El Watani plus particulièrement celui de la brigade du Darak El Watani de Takhmaret. Cependant ce qui est arrivé au quartier « Saridj » a fait plonger les citoyens dans un climat d'émoi, d'inquiétude, et dans un horizon d'incertitudes. Quelques sept individus cagoulés dont l'un d'entre eux armé, l'on parle d'un fusil de chasse, se sont infiltrés, la nuit aidant, aux environs de 2 h du matin, dans la propriété d'un particulier, mais comme « les yeux » ne manquent pas, certains jeunes vigilants, dit-on, ont informé le propriétaire du garage qui a tiré deux coups de feux en l'air. Peut-être pour faire fuir les prédateurs, cependant déclarant leur présence et contraignant les citoyens à ne pas avancer, l'un des voleurs cagoulés aurait fait usage de son arme et les coups de feux ont été bien entendus par les voisins qui ont trouvé des difficultés cette nuit qualifiée de « Blanche ». Cela aurait permis aux voleurs cagoulés de s'évaporer dans la nature en toute quiétude. Pour rappel, près de 150 têtes de moutons ont été volés, il y a un mois avec un espace de répit de 48 heures et la dernière fois ils ont été repoussés à Ain El Hadid par des citoyens qui ont fait usage de leurs armes à feux et mystère, ces vols ont été signalés lors des incendies de forêt, puisqu'un lieu « ombilical » existe entre la provocation des incendies et l'action de cette bande cagoulée qui roule en se servant d'un camion « Delta » de couleur blanche selon de très profondes investigation menées par nos soins. Le journal « Réflexion » s'est déplacé chez toutes les victimes de vol de cheptel sur un rayon de près de 40 km dans des zones très disparates er a pu collecter les informations nécessaires menant à la piste des « prédateurs de la nuit »tout en informant l'opinion publique qu'une enquête a été ouverte par les services de sécurité territorialement compétents et la question qui reste toujours posée serait cette solide logistique liant la bande cagoulée et encore armée avec certains milieux de la société . Nous y reviendrons.