Le quotidien Réflexion célèbre aujourd'hui son 200° numéro. Cette occasion revêt pour moi un aspect essentiel. La liberté d'expression commence à s'instaurer en Algérie et d'autres luttent encore pour sa consécration dans d'autres pays dont nos voisins dans le Maghreb, et le pays des pharaons, précurseur de la presse arabe.Si la presse a toujours été le support sur lequel s'étale la liberté, et le moyen qui reflète la libre expression dans une partie du monde, aujourd'hui elle est devenue pour une grande partie de l'humanité un outil de propagande qui exalte et consacre la situation de domination que subissent d'autres peuples et nations Le quotidien Réflexion célèbre aujourd'hui son 200° numéro. Cette occasion revêt pour moi un aspect essentiel. La liberté d'expression commence à s'instaurer en Algérie et d'autres luttent encore pour sa consécration dans d'autres pays dont nos voisins dans le Maghreb, et le pays des pharaons, précurseur de la presse arabe.Si la presse a toujours été le support sur lequel s'étale la liberté, et le moyen qui reflète la libre expression dans une partie du monde, aujourd'hui elle est devenue pour une grande partie de l'humanité un outil de propagande qui exalte et consacre la situation de domination que subissent d'autres peuples et nations. Dans notre Algérie d'aujourd'hui et dans un champ où la presse est entrain de livrer de rudes combats pour instaurer la Liberté pour de vrai, est né Réflexion, un quotidien de proximité qui se veut proche des citoyens de l'Algérie profonde. Qu'il soit dit une bonne fois pour toutes que la peur n'est qu'un vain mot et que des hommes et des femmes manient la plume dans la seule crainte de Dieu. Les quelques succès éclatants, déjà réalisés et les résultats acquis montrent une nette ouverture vers de la liberté d'expression de notre journal et en font notre fierté. Loin de s'affoler et de s'inquiéter, nous continuerons à écrire en notre âme et conscience et comme tout un chacun, nous aimons la liberté et connaissons son prix. ------------------------------------------------------------------------------------- Un journal, un parcours Par Bentahar Med Qui, des citoyens mostaganémois, aurait cru qu'un jour Mostaganem aura son propre quotidien, et de surcroît nation al ? Avant le mois de juillet 2008 personne ne l'aurait imaginé. Quand le n° 1 a paru le 26 juillet et qu'il s'est trouvé sur les étales, les mostaganémois n'en revenaient pas. Parmi les autres quotidiens « Réflexion » était là, bien présent, revendiquant sa place au même titre que ses prédécesseurs. Il était tout nouveau, avec sa propre conception et surtout un nom et un logo tout particuliers. Si son directeur général lui a choisi le nom « Réflexion » ce n'est pas par pur hasard. Réflexion suppose beaucoup de choses à la fois. Pour Le Petit Larousse ce nom veut dure : « Action de réfléchir, d'arrêter sa pensée sur quelque chose pour l'examiner en détail.» C'est donc à partir de cette simple définition que l'idée d'opter pour ce nom est apparue. Et elle est plus que justifiée, car c'est dans ce sens que vont nos idées, nos investigations, nos recherches de ce qui intéresserait nos lecteurs aujourd'hui nombreux. Notre but essentiel était, en plus des informations habituelles que traitent tous les quotidiens, dans leur ensemble, d'apporter un plus en leur consacrant de nouveaux espaces. Parmi ces espaces il y a lieu de citer ceux réservés aux doléances des citoyens en difficultés et qui ne trou vent pas d'autres canaux pour exprimer leur cri de détresse. Plusieurs personnes ont été entendes depuis le premier numéro et ont obtenu satisfaction par ce que les autorités locales, ainsi que les administrations concernées ont réagi. N'était-ce pas là le but recherché ? « Réflexion » a également créé un autre espace sous l'appellation de « forum ». Ces forums sont destinés à des rencontres de responsables locaux, de notables, de représentants du mouvement associatif pour débattre des problèmes de tous les jours qui préoccupent les citoyens et auxquels les solutions impossibles. Avec son 200 è numéro qui paraît aujourd'hui, et comme par hasard un 1er avril, « Réflexion » tient bon la barre puisqu'il est toujours dans la course et suivant le rythme donné par nos confrères. Il y a une semaine, un lecteur s'est présenté à nos bureaux pour tout simplement nous confier, le plus simplement ceci : « Je lis Réflexion depuis le début et à ce jour je n'ai raté aucun numéro. Tous les matins je passe chez M. Khedim pour acheter mon journal » Et ils sont plusieurs ceux qui ont changé de cap. Nous les en remercions à l'occasion. Nous avons, par ailleurs, réservé un autre espace que nous avons consacré aux entretiens avec les gens de la culture, dans son expression globale, ainsi qu'aux notables de la ville témoins d'événements historiques importants qu'ils veulent transmettre à ceux qui ne les ont pas connus. Tel était donc l'objectif de notre quotidien. La route est longue et nous en sommes conscients. C'est d'ailleurs à partir de ce constat que nous envisageons, sans cesse, de nous améliorer afin d'être performants. Nous nous réjouissons d'être à l'écoute de nos chers lecteurs. Nous en faisons même une devise. ---------------------------------------------------------------------------------------------- Chef rubrique « Région » A l'occasion de la célébration du 200° numéro Par Benyahia Abdelkader Parlons en juste pour revenir le temps, d'un bilan sur ce qui a été publié jusqu'à ce 200° numéro, une occasion d'être au fait sur notre quotidien, faire dans la rétrospective du travail accompli par cette page spéciale, puisqu'il y va de sa crédibilité et ce qu'il pourrait apporter en plus à la presse nationale. On dit dans le jargon journalistique, qu'il n y a pas de presse sans grand tirage, c'est le but recherché de tout quotidien, mais ceci ne peut rentrer en ligne de compte que par la qualité, des reportages, des analyses, des commentaires ou de l'opinion pour marquer le style dans la publication sérieuse et par l'information objective. La nouveauté dans ce journal, est que le lecteur puisse trouver ce qu'il recherche comme information, exception faite des évènements ou du scoop recherché de tout premier ordre en d'autre terme satisfaire les lecteurs par une lecture accessible, d'un certain niveau intellectuel, dans la diversité de ses pages. Il est difficile pour tout quotidien de répondre par oui ou par non à certaines questions dans son analyse, pour prétendre qu'elle est le relief de la société cependant, la responsabilité morale du journaliste reste l'indicateur du sérieux d'un quotidien par le relais de l'information, en temps réel pour prédisposer de cet atout dans le respect de son public. Eviter les effets à sensation ou à scandale, qui portent préjudice à toute personne morale ou physique. Aujourd'hui avec la diversité des journaux dont le monde de la presse s'est enrichit ces dernières années, est un indicateur certain, pour la poursuite de l'évolution et le développement de la presse. Il est du devoir de chacun d'apporter un plus pour dans la réalisation d'une telle mission dans sa définition pour une presse de qualité, qui permet au public d'apprécier, et lui permettre d'apporter une critique constructive. Telles devraient être les règles de l'étique dans le travail de tous les jours. Outre l'information locale, nationale et internationale, l'information régionale, occupe une grande place dans le journal comme en témoignent les pages qui lui sont réservées, par le contenu qui représente la valeur d'une presse qui veut être prise pour ce qu'elle est. Ont dit dans ces cas là que le travail d'un journaliste est identique à celui de l'historien, la différence près pour être séparé seulement par le passé et le présent. A Réflexion il s'agit de revenir par une synthèse chronologique importante, qui permet de faire un bilan, et une auto crique, par la participation qui s'inscrit dans un cadre de correction essentiel pour le journalisme par principe dans un retour sur ce qui a été accompli à ce jour. Si l'erreur est un fait possible, l'erreur de jugement ne l'est pas moins, car elles sont liées, par un jugement journalistique, par ce qu'il commence au moment même, où il prend la responsabilité de la valeur de l'information, par sa portée et sa signification dès son instant. Dans cette rubrique « Région » il s'agit de la position de l'équipe de Réflexion qui croit, aux jugements de ses lecteurs, et prend en considération tout ce qui peut se rapporter à l'information régionale et à la société. Cette page spéciale relève d'un concept réaliste transparent, dont sa mission première le lie à la presse par le devoir, celui d'aller vers son public, seul juge pour procéder à un sondage. Sortir du contexte conformiste, dans sa rencontre avec le public, est une expérience enrichissante, qui apporte un certain complément à l'information de Réflexion, par la classification des tous sujets, à savoir : L'actualité des régions, la culture, la société, l'économie, le sport, l'information nationale et internationale, la page débat, apte à s'enrichir davantage par la diversité de l'information dans son extension à d'autres volets de la société par la suggestion de nos lecteurs. En conclusion, nous tenons à remercier tous nos correspondants régionaux qui s'attèlent tant bien que mal et avec les moyens du bord, à chercher l'information, la véritable information et être au service de ce respectable lecteur. ---------------------------------------------------------------------------- Chef rubrique « Sport » Fête son 200° numéro avec un esprit sportif Par Gana Othmane Le quotidien national « Réflexion », à travers sa rubrique sportive ne peut que se targuer aujourd'hui plus que jamais de sa poursuite inébranlable dans le chemin de l'information sportive. Sachez que notre volonté est grandissante, notre passion est plus immuable que jamais à faire exhaler, répandre, véhiculer l'information, toute l'information pour que nos chers et aimables lecteurs puissent s'enquérir pleinement de toutes les nouvelles sportives, notamment celles de proximité imminentes à notre chère jeunesse qui recèle de richesses inestimables et inépuisables. Sachez aussi que notre souci majeur est de vous satisfaire, être en harmonie avec vos attentes et vos passions. Aussi, notre espoir crédule pour l'avenir ne peut être qu'éminemment sérénissime et exhaustif pour être au zénith des évènements sportifs, afin de vous satisfaire, et vous combler. Le chemin qui reste à parcourir est certainement plus sinueux et cahoteux, le défi plus pernicieux certes, mais notre volonté est plus ferme, pour continuer cette traversée, qui ne demande que votre encouragement et votre participation pour en arriver ensemble à bon port. -------------------------------------------------------------------------- Reflexion faite …. Tant qu'il y aura des hommes : Deux cents. Par B.Benatia Réflexion est à son deux-centième numéro. Ce n'est pas la fête comme ça a été le cas au centième. Le journal se porte comme un charme. Pour ces deux cents coups, il y a de l'optimisme dans l'air, car le nombre est merveilleux pour les bien portants, car figurez-vous que le niveau de cholestérol 200 et plus bas est considéré la fourchette tolérée correspondant à un niveau minimal pour que le cœur flanche. Et comme un corps en super forme, le quotidien est là. Des hommes de toutes les catégories, plumes lourdes et légères, éloquents et taciturnes, jeunes et vieux, lents et rapides, grands bibliophages et « pas-lecteurs » du tout, et des bouts de femmes d'une seule et même catégorie à l'énergie débordante qu'on dirait issues d'un même moule et au sourire enfantin, longent le fleuve de la connaissance et du nouveau pour repérer l'endroit propice où pécher le meilleur au lecteur du lendemain. Contrairement à ce que l'on croit, les plus fidèles lectrices et lecteurs d'un journal sont celles et ceux qui le confectionnent. Les semeurs de nouvelles n'ont pas le temps de lire ce que présente un collègue. Dans un monde qui grouille comme une ruche, les tâches sont bien réparties et dès le butinage terminé, on s'affaire à fignoler ce que vous tenez maintenant entre vos mains. Incidents, accidents, accrochages, collisions et tamponnages sont monnaies courantes, mais sans aucune digression, bien sûr. Sauf que loin de s'imaginer sur terre avec des abeilles butineuses, M. Amara, se voit à la barre d'un « bateau nommé Réflexion » en haute-mer défiant la houle et loin de rédiger en chef se voit réduit au frère aîné auquel on glisse quelques coquilles par-ci, quelques scribouilles par là pour remplir une page et lui, dans toute sa grandeur défait, refait, tisse et retisse ce que la main de la sœur cadette pas encore experte a cru bien faire. Et le sourire en plus. Deux cents au célèbre jeu de Monopoly est la somme d'argent en euros et pas en dinars, que reçoit un joueur quand il passe la case départ. Et Dieu Seul sait ce que M. Belhamideche, le Président-Directeur Général a passé par cette case de départ ! Que de jours et de nuits a-t-il passé la main en Penseur de Rodin pour avoir été trahi, délaissé, largué, poignardé dans le dos par ceux sur qui il s'est accoudé. Sans être aucunement superstitieux, c'est vers deux cents avant l'an zéro du calendrier qu'utilise notre journal et le monde, fut inventé le fer à cheval. Comme le font beaucoup de gens à travers le monde pour repousser le mauvais œil, j'userai de ce fer non pour une application superstitieuse, mais pour ferrer nos correspondants qui parfois en mal de sujets se voient pousser, bousculer, vers « là où le bât le blesse ». Vous l'avez constaté vous-mêmes qu'ils peuvent traiter de l'ivrognerie à l'école ou les déboires d'un élu comme la main baladeuse d'un ministre où le linge étendu en guise de bienvenue à tel autre ministre. Difficile d'abatte un chêne tel Belhamideche ! Incroyable qu'est sa résistance. Au journal, on l'appelle « le bois de fer ». C'est du prosopis juliflora. Indestructible. Lui-même un Robocop destructeurs de Robocops Taïwan, se voit maintenant, la houle passée qu'il était simplement bien entouré. Fidèles, vous l'avez été et encore plus fidèles sont ces petites gens qui, le soir venu rentrent contentes chez elle, satisfaites d'avoir encore une fois porté la bonne nouvelle et d'autres d'avoir été là à éduquer. Un dernier mot : Tant qu'il y aura des Hommes…