Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), M. Mohamed Said, a soutenu, samedi a Djelfa que la gouvernance par un consensus politique entre les différentes formations partisanes existantes, sans exclusive, est susceptible de garantir la stabilité politique du pays. "Nous sommes à l'opposé de ceux qui se croient les seuls aptes à l'exercice politique", a indiqué, à cet effet, M.Mohamed Said, dans un meeting électoral animé à la maison de la culture de la ville, pour la campagne des législatives du 10 mai devant une assistance nombreuse de partisans du PLJ, des jeunes notamment. Il a ajouté que les 50 années d'indépendance de l'Algérie, nous ont suffisamment enseigné qu' "un pays ne peut pas être gouverné par un seul courant politique". Tout cela pour affirmer que le PLJ est convaincu qu'un parti, quelle que soit sa popularité, "n'arrivera jamais seul à garantir la stabilité du pays." Quant au programme électoral du PLJ, il vise, selon M. Mohamed Said à "opérer le changement pour garantir la stabilité politique du pays pour le prochain demi-siècle à venir, et partant de là enclencher la relance économique." Après avoir écouté les préoccupations et questions de nombreux citoyens présents à son meeting, M. Mohamed Said a informé l'assistance que le PLJ a sélectionné ses candidats à la députation sur des bases solides, à savoir "l'intégrité, la compétence, la crédibilité, l'honnêteté, l'engagement et l'abnégation."