L'Emir de l'Etat du Qatar Cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani a déclaré mercredi que sa visite en Algérie traduisait son "souci de poursuivre le dialogue et la concertation sur les questions arabes et régionales, les défis" auxquels est confrontée la nation arabe et d'"explorer les voies et moyens de renforcer les relations de coopération entre les deux pays". Dans le même cadre, l'Emir du Qatar a précisé dans une déclaration écrite remise à la presse à son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene que sa visite en Algérie traduisait son "souci de poursuivre le dialogue et la concertation sur les questions arabes et régionales ainsi que les "défis auxquels est confrontée la nation arabe et d'explorer les voies et moyens de renforcer les liens de fraternité et les relations de coopération entre les deux pays frères". "Je suis heureux d'effectuer cette visite en Algérie pour rencontrer le président de la République Abdelaziz Bouteflika et lui transmettre ainsi qu'au peuple algérien frère les sincères salutations du peuple qatari et ses meilleurs voeux pour davantage de bien être et de prospérité". L'Emir du Qatar a entamé mercredi une visite officielle de deux jours en Algérie à l'invitation du président de la République Abdelaziz bouteflika. Il a été accueilli à l'aéroport international Houari-Boumediène par le président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra et le ministre des Finances, Karim Djoudi. Cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani est accompagné d'une importante délégation comprenant notamment le ministre des Affaires étrangères, Khaled Ben Mohamed Al-Attia. Cette visite sera "l'occasion" pour le président de la République d'examiner avec l'Emir de l'Etat du Qatar les "voies et moyens de consolider et promouvoir les relations bilatérales dans divers domaines de manière à répondre aux attentes des deux peuples frères", avait indiqué la présidence de la République dans un communiqué. Elle "permettra également aux deux chefs d'Etat de poursuivre leur coordination et concertation et d'échanger les vues sur les différentes questions arabes, régionales et internationales d'intérêt commun", avait ajouté le communiqué.