La 22ème édition du Salon international du livre d'Alger (SILA 22) a coïncidé avec la sortie de plus de 180 romans dans les trois langues (arabe, amazighe et française), avec plus de 90% de livres écrits en arabe et la moitié sont les premières œuvres de leurs auteurs, un phénomène qui suscite des questionnements autour des éditeurs qui font la promotion des premières œuvres et sur la qualité de l'écriture. Le romancier Mohamed Djafar est quant à lui "contre l'édition moyennant une contrepartie". Je suis, a-t-il dit, étonné que certains éditeurs admettent cette situation et procèdent même de la sorte". Lounis Benali a notamment appelé les éditeurs à "régler les problèmes de distribution".