Voici les déclarations marquantes de présidents de partis en lice pour les législatives du 12 juin, au quinzième jour de la campagne électorale : - Le président de l'instance chargée de la gestion du parti Talaie El-Hourriyet, Rédha Benouanane: "Le changement ne se réalisera pas avec le silence et le boycott de la vie politique, mais plutôt par le travail pour développer le pays et lutter contre les différents fléaux, tels que la corruption". - Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abou El-Fadhl Baâdji: "Tant que la volonté politique existe, tous les mécanismes d'application des programmes politiques seront accessibles, à condition de respecter le principe de l'homme qu'il faut à la place qu'il faut''. - Le président du parti du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd: "Réparer ce qui a été détruit, à tous les niveaux durant les deux dernières décennies, n'est pas une chose aisée, (...) le peuple doit faire preuve de patience et de sagesse". - Le président du parti du Mouvement El Islah, Filali Ghouini: "L'Algérie possède toutes les potentialités naturelles et humaines, notamment les jeunes, en plus de la volonté politique qui lui permet de parvenir à cet objectif à travers une bonne gouvernance". - Le président du Mouvement de la Société pour la Paix (MSP), Aberrezak Mokri: "Le mouvement a une vision d'avenir. Il s'appuie sur une méthodologie de construction et de réforme, basée sur la réalisation du principe de la liberté qui est l'un des piliers pour maintenir la confiance entre le peuple et l'état, et éviter les conflits et la propagation de la corruption".