Voici les déclarations marquantes des interventions des présidents de partis en lice pour les législatives du 12 juin, au premier jour de la campagne électorale : - Abdelkader Bengrina, président du Mouvement El-Binna à Biskra : préserver la concurrence loyale pour servir le pays et le citoyen, et pour renforcer le front interne préserver le lien social". - Aissa Belhadi, président du Front de la Bonne Gouvernance: Tous les Algériens doivent participer en force aux élections législatives pour accompagner et faire aboutir le processus de la transition démocratique qui constitue une opportunité pour édifier un Etat de droit et de justice dans le cadre de l'Algérie nouvelle et l'instauration de la nouvelle République à laquelle aspirent tous les Algériens. - Djamel Benabdeslam, présient du Front de l'Algérie nouvelle (FAN) depuis Mascara: le FAN a œuvré, depuis le début, pour une participation positive dans le parcours de l'édification de l'Algérie nouvelle, initié par l'Etat à commencer par le mécanisme du dialogue national, suivi par la présidentielle, couronnée par l'élection du président Abdelmadjid Tebboune, puis par la révision de la Constitution et, enfin, les prochaines législatives, qui dégageront un Parlement doté de crédibilité populaire. - Fatima-Zohra Zerouati, présidente du parti de Tajamou Amal El-Jazair (TAJ), à Alger : Redonner confiance aux citoyens, doit se faire sur le terrain, en bannissant les comportements politiques anciens, et au même temps s'appuyer sur une véritable action politique, transparente et la concurrence loyale. - Aboul-Fadl Badji, sécretaire général du parti du Front de libération nationale (FLN) a souligné à Alger: Nous œuvrons à faire réussir ce rendez-vous électoral crucial et décisif pour les générations futurs et nous avons la ferme conviction de s'engager dans cette compétition électorale avec la volonté de réussir. - Filali Ghouini, président du parti El Islah à Ain Defla : la confiance du peuple ne peut être acquise sur la base de slogans creux ou de promesses irréalistes, mais en tenant compte du parcours des candidats et du programme qu'ils proposent pour venir à bout de la crise multidimensionnelle dans laquelle se débat le pays. -Djamel Ben Ziadi, président par intérim du parti de la liberté et la justice à Alger : Le devoir de patriotisme et la morale dicte à tout un chacun de ne pas perdre de temps pour un changement politique démocratique dans un climat d'entente nationale entre toutes les composantes de l'arène politique. - Kamel Bensalem, président du Parti du renouveau algérien (PRA) à Alger: ces élections constituent une opportunité importante pour opérer le changement et concourir à l'édification d'une Algérie nouvelle, à laquelle aspire tous les Algériens. - Tayeb Zitouni, Secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), a Alger : la participation du RND à ces élections procède de sa conviction que le pays doit se construire sur la base de la légitimité populaire, mais aussi de son attachement aux principes de la République et en réponse aux appels du Hirak populaire. - Abderrezak Mokri, président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), à Ouargla: La proclamation du 1er novembre 1954 constitue le cadre général et la référence du programme retenu par le MSP qui s'engage à construire un Etat algérien démocratique, populaire et social, dans le cadre des principes de l'Islam. - Redha Ben Ouenane, président de l'Instance chargée de la gestion des affaires du parti Talaie El-Houriyat, à Alger : Les prochaines législatives représentent un prélude pour l'édification d'un Etat de droit et de démocratie , pour peu que les conditions idoines en soient réunies. - Abdelaziz Belaid, président du Front El Moustakbal, à Bordj Bou Arréridj : la réussite de la campagne électorale entamée aujourd'hui signifie la réussite de l'Algérie, laquelle implique l'édification d'une institution législative constitutionnelle et fondamentale pour la conduite des affaires de l'Etat. -Lamine Osmani, président du parti la Voix du peuple, à déclaré à Alger que son parti s'apprête à faire un changement global en faisant des proposions émanant des préoccupations du citoyen qui a toujours réclamé un changement qui sera à la hauteur de ses aspirations". -Lakhdar Benkhellaf, cadre du parti le front pour la Justice et le développement (FDJ), à Alger : Le parti fait de l'information intègre et crédible la base de la campagne électorale qui permet d'expliquer clairement le programme tracé et qui est porteur de toutes les solutions visant à gagner l'adhésion du peuple et à aller vers une Algérie inspirée des principes de Novembre". - Tahar Benbaibeche, président du Parti El Fadjr El Jadid (PFJ): mener une forte campagne et expliquer le programme du parti qui vise à améliore la condition du citoyen.