Voici les déclarations marquantes des présidents de partis politiques en lice pour les locales du 27 novembre, au 12ème jour de la campagne électorale: - Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, à El-Meghaïer: "Cette consultation populaire doit être le bon départ d'un véritable développement global et équitable". - Le président par intérim du Mouvement El-Islah, Fayçal Boussedraia, à Mostaganem : "Les prochaines élections locales sont une véritable occasion pour corriger les dysfonctionnements en terme du développement local, lequel doit être équitable et équilibré et qui prend en considération les régions désenclavées". - Le président du "Front El-Moustakbal", Abdelaziz Belaid, à Médéa : "Ces élections sont l'occasion de rétablir cette confiance, à travers une représentation au sein des assemblées élues qui se consacrent à la prise en charge des attentes et des aspirations des citoyens et l'amélioration de leurs conditions de vie". - Le Secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abou Fadhl Baâdji, à Alger : "Nous avons relevé un certain désintérêt dans cette campagne électorale et nous prévoyons une participation raisonnable". - Le président du Madjliss Echoura du Mouvement El-Bina, Nassr Eddine Salem Chérif à Mila : "Se contenter uniquement de relever les points négatifs au lieu de s'impliquer dans la gestion des affaires publiques à travers les assemblées élus ne contribue pas à la concrétisation du développement attendu dans différents domaines". - Le président du Front de l'Algérie Nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslam, à Sidi Bel Abbès : "Le choix des élus intègres, compétents et courageux nous permettra d'avoir une commune forte capable d'assurer la bonne gestion et d'être la locomotive du développement et ce en fonction des particularités régionale, répondant aux aspirations des citoyens dans les différents domaines". - Le président du parti "Sawt Echaab", Lamine Osmani, à Alger : "Notre parti veut faire des Assemblées communales des Gouvernements locaux, et de transformer les Assemblées de wilayas en des Parlements qui vont proposer des projets d'investissements à même de booster le développement local". - Le membre de l'Instance présidentielle du Front des Forces socialistes (FFS), Hakim Belahcel, à Alger: "Le changement radical voulu par le FFS repose sur une éthique politique qui rejette la violence, le discours de la haine, l'exclusion et les ingérences étrangères". - Le président par intérim du Parti de la Liberté et de la Justice (PLJ), Djamel Benziadi, à Saida: "Le meilleur choix des candidats et la seule voie pour faire le changement et concrétiser le développement local".