Plusieurs membres du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), dont la cérémonie d'installation a été présidée, lundi, par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, ont convenu que cette instance constituerait "un trait d'union efficace" avec les pouvoirs publics afin de soulever les préoccupations de cette frange de la société. A cette occasion, le membre élu de la wilaya de Mostaganem, Denden Sofiane, a estimé que cette instance "regroupe l'élite des jeunes algériens qui ont une expérience dans nombre de domaines", lui permettant de constituer "un trait d'union efficace entre les jeunes et les pouvoirs publics afin de soulever leurs préoccupations et résoudre leurs problèmes par le dialogue". Pour sa part, le membre élu de la wilaya de Blida, Aïmen Rafâa, a fait savoir que la création du CSJ reflétait "l'engagement du président de la République à prendre en charge cette catégorie et son attachement à inclure les jeunes dans tous les domaines de développement". Ce Conseil "permettra, sans doute, aux jeunes de participer à la prise de décision, notamment en ce qui concerne les volets liés à la lutte et à la prévention contre les fléaux sociaux", a-t-il poursuivi. De son côté, le membre élu de la wilaya de Mascara, Benouis Kada, a estimé que la création du CSJ était "une nouvelle expérience pour prendre en charge les préoccupations des jeunes et les impliquer dans toutes les décisions importantes". Le membre élu de la wilaya de Batna, Manar Menzer, a affirmé, dans ce sens, que le CSJ constituera "un intermédiaire entre les jeunes et toutes les institutions de l'Etat à même de soulever les préoccupations de cette catégorie et d'exprimer leurs aspirations", appelant les jeunes à "participer à l'activité associative au mieux des intérêts suprêmes du pays".