Depuis l'arrivée de la pandémie de Covid-19, la question sanitaire prend une dimension stratégique dans tous les pays du monde. En Algérie aussi, des moyens importants ont été mobilisés pour lutter contre l'avancée de cette pandémie. La question (...)
Le Hirak a mis à nu le système institutionnel et ses contradictions. Il a permis de révéler le niveau atteint par la prédation des biens publics, la corruption, le vol sous toutes ses formes, le népotisme, le clientélisme, le chantage, le commerce (...)
Les pouvoirs publics ont commencé à s'affoler vers la fin de l'année 2015 en constatant les déficits budgétaires grandissant et l'amenuisement des ressources du Fonds de régulation car la moyenne annuelle du baril de pétrole algérien exporté est (...)
Le baccalauréat est un examen qui reste symboliquement très important en Algérie, pour la société et pour les institutions publiques. Les résultats sont attendus et largement commentés. Les uns mettent en évidence les taux de réussite dans les (...)
L'Algérie enregistre de grands déséquilibres financiers depuis plusieurs années (budget et trésor), et avec la chute du prix du baril de pétrole, son commerce extérieur devient déficitaire en 2015, alors que sa balance des paiements a déjà (...)
La dernière Note de conjoncture de la Banque d'Algérie traitant des «Tendances monétaires et financières au premier semestre 2012» se félicite du niveau atteint par le crédit octroyé au secteur privé à la fin du premier semestre 2012.
Elle déclare (...)
Elle déclare qu'à «fin juin 2012, les crédits bancaires au secteur privé atteignent 2121 milliards de dinars, excédant l'encours des crédits au secteur public (1893 milliards de dinars), en situation d'augmentation de la part relative des crédits à (...)
Le recensement économique (R.E.) effectué récemment et dont les premiers résultats viennent d'être livrés, constitue une étape importante dans la connaissance de l'économie et surtout des agents économiques et de leurs caractéristiques.
Il s'agit (...)
En Algérie, il n'y a jamais eu de véritable débat sur la consommation, c'est-à-dire sur le rôle et le poids de la consommation des ménages par rapport à l'investissement et à l'épargne.
Du temps de l'économie administrée, il avait été décidé (...)
Du temps de l'économie administrée, il avait été décidé d'accorder la priorité à l'investissement, et l'Algérie s'est retrouvée avec le taux d'investissement – c'est-à-dire, le rapport entre la formation brute de capital fixe (FBCF) et le Produits (...)