L'après-pétrole est un habit que le pouvoir politique nous étale périodiquement sans se mettre dedans. Le système ne peut être autre chose qu'un avant-après-pétrole. Et il en avait fait autant pour qu'on ne puisse pas être autre chose sans le (...)
Tout ce qui est création de valeur est voué à ses gémonies. L'après-pétrole se fait avec des forces entrepreneuriales autonomes. Or, la naissance d'un espace entrepreneurial autonome est une chose que refuse énergiquement le système. Les forces (...)
Les mutations ont été vécues à la manière des vases communicants : la rupture systémique tant attendue n'a pas eu lieu.
L'économie de marché a servi comme un nouvel habitacle aux fortunes tapies dans l'ombre d'un système. La création de cette (...)
L'économie de marché a servi comme un nouvel habitacle aux fortunes tapies dans l'ombre d'un système. La création de cette économie de marché, qui n'est ni productive ni compétitive, est consécutive à la logique de reproduction du système. Les (...)
Après plus de deux décennies de réformes, l'économie algérienne n'arrive toujours pas à se frayer des chemins spécifiques de croissance compétitive. Chez les fatalistes, le destin de l'économie du pays serait scellé du fait de porter en elle ce mal (...)
Les résultats décevants des réformes à répétition leur donnent à croire que notre économie est imperméable aux transformations. Peut-être, leur est-il difficile de faire le diagnostic de ces réformes pour justement découvrir que celles-ci n'ont, en (...)