Un crime est resté impuniLa commémoration du 8 Mai 1945 suscite toujours autant d'engouement, non seulement en Algérie mais également en France, où, cette année, un colloque sera organisé le 6 mai à l'Hôtel de Ville de Paris avec la participation (...)
L'idée maîtresse qui s'en dégage devrait aboutir à la démonstration irréfragable qu'un crime contre l'humanité a été perpétré le 8 mai 1945 en Algérie, c'est incontestablement le cas.Dès le 1er mai 1945, des manifestations revendicatives de (...)
« Vous avez dignement répondu à l'attente de la France. Vous avez enlevé à l'ennemi ses femmes, ses enfants, ses troupeaux ; vous avez détruit ses habitations et brûlé ses moissons. Partout vous avez porté le fer et le feu. » Le général Barguauy (...)
Mon dictateur, un tortionnaire, un oppresseur du peuple vient de passer de vie à trépas. Augusto Pinochet disparaît ainsi, après avoir été voué aux gémonies, à la colère et au mépris de l'opinion publique internationale pour son comportement indigne (...)
• A la mémoire de Fatima Bedar noyée dans la Seine à l'âge de 15 ans • A la mémoire des martyrs du 17 octobre 1961 • A la mémoire de Marcel Manville décédé devant le juge d'instruction pendant qu'il défendait les victimes et ayants droit du 17 (...)
Il a fallu du temps et beaucoup de persévérance pour que les événements marquants de notre histoire contemporaine, notamment celle du colonialisme français dans notre pays, finissent enfin à s'échapper à l'amnésie et à la culture de l'oubli (...)
Parmi les événements les plus marquants de l'histoire de l'Algérie colonisée, le 8 mai 1945 occupe, incontestablement, une grande place. D'abord par le nombre de morts (45 000 environ), ensuite pour la prise de conscience qui a permis d'aboutir au (...)
Sur le plan juridique, les actes criminels collectifs des forces de la colonisation et de la majorité des colons, de par leur caractère racial et raciste, et leur volonté de «blesser la conscience des musulmans» en les traitant de sous-hommes, ces (...)
Le film de Jacques Panigel a été réalisé presque sur le vif, plus exactement quelques courts instants seulement après la répression féroce dont ont été victimes les milliers de « marcheurs » pacifiques algériens, le 17 octobre 1961 à Paris, pour (...)
Cette mesure raciste et discriminatoire était inacceptable et insupportable. Leur courage et leur obstination ont été à la hauteur de leurs sacrifices : plus de 400 morts noyés, tués à bout portant ou pendus, près de 23 000 blessés et 14 000 (...)