La Russie a critiqué, hier mercredi, le président syrien, Bachar Al-Assad, pour les «gros retards» dans l'application des réformes et mis en garde Damas contre un risque d'escalade de la crise si le régime n'écoutait pas les conseils de son allié (...)
Le soutien des Occidentaux au Printemps arabe pourrait être motivé par des intérêts commerciaux.
Vladimir Poutine a fustigé le «cynisme» de l'Occident vis-à-vis de la Syrie et mis en garde contre toute attaque militaire contre l'Iran dans un long (...)