Belkhadem en vacances à Marsa Ben M'hidi Après sa omra, l'ancien chef du gouvernement a jeté son ancre dans la localité côtière de Marsa Ben M'hidi (60 km de Maghnia et à 500 m du territoire marocain), mais pour ceux qui le connaissent bien, avant qu'il ne soit au gouvernement, Abdelaziz Belkhadem a toujours porté son dévolu sur ce qui est appelé communément la station balnéaire de Port Say. Avant-hier, juste après la prière d'El Asr, selon des estivants, il circulait à bord d'un véhicule noir de type Mercedes. on se rappelle, il y a quelques années, M. Belkhadem, qui campait avec sa famille à Marsat Ben M'hidi, avait été appelé en urgence… pour se voir confier la chefferie du gouvernement. Mais de l'avis de tous, M. Belkhadem jouit d'une grande estime au sein de la population estivale eu égard à sa modestie et son comportement exemplaire… 1,8 million de dinars volés d'un compte CCP à Chéraga L'histoire qu'a vécue un citoyen, la semaine écoulée, est ahurissante, et démontre à quel point nos institutions financières restent fragiles. Le citoyen a eu la désagréable surprise de constater que le montant de son compte CCP, domicilié à Chéraga, a sensiblement chuté. Il demande un relevé des opérations et découvre qu'il y a eu deux retraits d'une somme de 1 million de dinars, puis de 800 000 DA. Il conteste et exige des explications. Les responsables de l'agence lui montrent deux chèques présentés par une tierce personne pour effectuer les retraits. Il s'avère par la suite que ces derniers étaient non seulement des faux vulgairement confectionnés, mais en plus, l'un d'eux comportait des ratures,qui auraient dû attirer l'attention des agents. Plus grave, l'auteur de ces opérations a présenté une fausse carte d'identité et n'a donc laissé aucune trace pour le retrouver. Comment de tels retraits peuvent être réalisés avec cette facilité déconcertante, surtout lorsque l'on sait que les montants dépassant une certaine somme sont généralement très difficiles à retirer ? La SNTF semble encourager les grèves La Société nationale du transport ferroviaire (SNTF) semble s'inscrire dans une nouvelle « démarche », s'approchant apparemment des préceptes de la démocratie et même de l'opposition ! En effet, la SNTF a confectionné de grandes affiches publicitaires relatives aux nouveaux trains à grande vitesse. Tout va bien pour le moment sauf que dans ces affiches même qui sont placardées un peu partout dans les gares, notamment à Blida, on trouve un homme lisant El Watan où il est mentionné dans sa une « Grève de la dignité », une information traitant une grève déclenchée par des travailleurs pour mieux faire entendre leurs nombreuses revendications. Peut-être qu'à travers cette information, la société en question veut pousser ses nombreux agents de sécurité à mener des actions de protestation pour leur dignité aussi, surtout quand on sait qu'un nombre important de ces agents exercent leur métier à la SNTF depuis plus d'une décennie avec un salaire dérisoire et des conditions de travail très précaires. Simulation d'une alerte à la bombe sur le Tariq à SKikda L'Entreprise portuaire de Skikda (EPS), les gardes-côtes et la police des frontières ont joint leurs efforts et effectifs, avant-hier, pour organiser des manœuvres. Ces dernières consistaient à simuler une alerte à la bombe. Le scénario retenu par les organisateurs consistait à trouver et à désamorcer une bombe dissimulée dans le navire Tariq Ibn Ziad, qui a été utilisé pour la circonstance. Les manœuvres devaient par la même occasion permettre l'évacuation de 153 personnes se trouvant à bord du navire. Selon des sources portuaires, ces manœuvres ont pour objectif de permettre d'améliorer les compétences individuelles et collectives des différents intervenants. Les dispositifs maritime et terrestre ont été mis à contribution comme stipulé dans l'ISPS code, un code de sécurité portuaire. Les mêmes sources ajoutent qu'il a été relevé un grand sens de cohésion et une grande maîtrise des différentes phases de l'alerte.