Constatant la prolifération continue de petites fabriques et autres ateliers en milieu urbain, les habitants des cités 216 lotissements et Berrezga sont montés au créneau pour dénoncer ce qu'ils considèrent comme « une atteinte aux règles de l'urbanisme. » En effet, les concernés ont, dans une correspondance signée, réclamé une solution pouvant mettre un terme à cette situation. Refusant la transformation graduelle de leurs cités en zone d'activité, les résidents se plaignent des nuisances provenant des garages et usines et les désagréments générés par l'incessant va- et- vient des camions dans leurs quartiers. Cependant les signataires disent préférer voir s'implanter des commerces tels que les boulangeries, pharmacies, librairies et épiceries, des commerces utiles pour les citoyens et ne causant aucun désagrément notent-ils.