Il est à signaler que le procès, qui devait se dérouler le 13 octobre dernier, a été renvoyé au 20 octobre à la demande des deux parties. Le 20 octobre, le procès a été ajourné en raison de l'absence du juge chargé de l'affaire. Il faut rappeler que cette plainte a été déposée par le président de l'APC d'El Eulma suite à une série d'articles concernant la gestion de l'une des plus importantes communes du pays et surtout sa gestion approximative et à une affaire de trafic d'une délibération dont une copie était en possession du journaliste. Evidemment, les remous au sein de cette importante commune ne sont pas près de s'arrêter, d'autant que les problèmes de dissension et de lutte de clans parmi les élus des différentes tendances font rage au moment où les affaires des citoyens sont laissées pour compte. Une lettre datée du 16 septembre, signée par 10 membres sur les 23 que compte l'APC d'El Eulma, a été adressée au wali de Sétif par laquelle ils demandent l'ouverture d'une enquête sur la gestion des affaires de la commune tout en dénonçant de nombreux abus et dépassements du président de l'APC. Cette affaire est pendante au tribunal d'El Eulma.