Près de 135 logements de l'OPGI ont enregistré des travaux de réaménagement et de retouche par les locataires, sans autorisation de l'Office, ce qui est interdit par la loi, selon une source confirmée de cette structure. A cet effet, cette dernière procèdera à la poursuite judiciaire de ces locataires dont la majorité réside à Haï Yaghmoracen, Haï Es Sabah, Maraval, le centre-ville, Derb, Plateau, etc. Ces habitants se plaignaient de l'exiguïté des logements. Notons qu'actuellement, le coût d'un logement dépasse les 400 millions de centimes pour les F2 ou F3. L'on saura également de la même source que ces résidences réaménagées pourraient constituer un danger pour les autres habitants, surtout que les retouches effectuées ne répondent pas aux normes techniques d'urbanisme. Il s'agit, notamment, de la détérioration des installations d'électricité, de gaz et réseaux d'eau potable et usée, ce qui peut occasionner des points noirs, des fuites d'eaux et d'autres problèmes liés à l'insécurité et aux fondations de l'édifice.