Education : La démolition des écoles en préfabriqué suspendue La démolition des constructions scolaires en préfabriqué datant du séisme de 1980 est suspendue jusqu'à la construction et la réception des nouveaux établissements en dur. C'est ce qui a été décidé par le ministère de l'Education en raison de la pression exercée sur les CEM notamment. En parallèle, l'accent a été mis sur la réalisation du nouveau programme de remplacement de ces structures, lequel doit toucher 208 établissements, tous cycles confondus, pour un coût de 957 milliards de centimes. Entamée en 2005, l'opération s'est traduite à ce jour par la livraison et la mise en service de 91 établissements, dont 8 lycées, 17 CEM et 66 écoles primaires. A ceux-là viennent s'ajouter 34 autres établissements (5 lycées, 11 CEM et 18 écoles) en cours de réalisation. Pour la plupart, les travaux se sont effectués sur le site même ou à proximité des anciennes infrastructures pour une question de disponibilité du foncier. Cette contrainte a quelque peu freiné le programme dans nombre de communes, obligeant les gestionnaires du secteur à chercher d'autres solutions de rechange. Le règlement de ce problème permettra sans doute le lancement des restes à réaliser comprenant 2 lycées, 7 CEM et des écoles primaires. Si tout va bien, le précaire disparaîtra à jamais du paysage scolaire à l'horizon 2010. Réhabilitation des marchés des fruits et légumes La Direction du commerce de la wilaya a bénéficié, pour sa part, d'une dotation de 2,4 milliards de centimes pour la réhabilitation des principales structures commerciales, à savoir le marché de gros et les marchés de détail des fruits et légumes de Chlef, Chettia et Ténès. Les travaux porteront sur la rénovation totale de ces équipements publics dont la réalisation remonte à plus de deux décennies. Ces derniers, faut-il le rappeler, sont gérés directement par les assemblées communales concernées, qui éprouvent, semble-il, des difficultés (financières) pour engager l'opération. Nouveau directeur à la DAS Un nouveau directeur a été désigné à la tête de la Direction de l'action sociale de la wilaya depuis quelques semaines. Il remplace son prédécesseur qui a été appelé à assurer les mêmes fonctions dans la wilaya de Tindouf. Cependant, aucune indication n'a été fournie sur les raisons de ce changement qui intervient dans une conjoncture politique et économique particulière.