Certains axes routiers sont détériorés, surtout suite aux pluies torrentielles qui se sont récemment abattues. D'autre part, les chemins qui serpentent les entrailles de Tazazrayt restent toujours en état de pistes. Tamda a pourtant bénéficié à titre de PSD d'une enveloppe budgétaire de près de 100 millions de dinars, destinée à son amélioration urbaine. Le tronçon routier desservant les trois cités de Tamda est fortement délabré. Il présente des zones bombées, des sillons et des nids-de-poule. A chaque ondée, une couche de terre adhère à la chaussée et transforme la route en un bourbier. La chaussée est recouverte de gravats et de sable charriés par les eaux pluviales. Par manque d'entretien, les conduites d'évacuation des eaux pluviales sont obstruées pour la plupart. Les trottoirs sont défoncés voire disparus en certains endroits. Outre le manque de trottoirs, l'axe routier allant de Tamda vers Tala Athmane est dépourvu de systèmes de drainage également. Idem pour le tronçon qui mène vers Fréha ; ses bords sont étroits et se recouvrent de boue et de flaques d'eau au moindre orage, ce qui oblige les piétons à marcher sur la chaussée malgré les dangers encourus sur cette route à grande circulation. Sur ces axes routiers, il n'existe aucun panneau de signalisation. De la rentrée de Tamda jusqu'au pont, les trottoirs sont inexistants, la chaussée détériorée par endroits et les bords de la route ravinés. En somme, le réseau routier de Tamda a besoin d'aménagement et d'entretien. L'amélioration urbaine tarde à venir aussi.