Belouizdad : Absence de ralentisseurs Dans la commune de Belouizdad, les ralentisseurs que l'on avait enlevés à l'occasion de la tournée du chef de l'Etat le 2 mai dernier, n'ont pas été remis à leur place. Si cela avantage les automobilistes, ce n'est pas le cas pour les piétons qui éprouvent d'énormes difficultés à traverser la chaussée. Depuis dimanche, la vitesse a repris de plus belle notamment au niveau de la rue Hassiba Ben Bouali où, par le passé, on avait enregistré plusieurs accidents mortels. Faut-il alors, attendre encore d'autres victimes pour replacer les ralentisseurs ? Marché Ali Mellah : Les prix toujours élevés Le marché Ali Mellah, situé au 1er Mai, vole toujours la vedette en matière des prix. Partout ailleurs, du moins dans les quartiers populaires, les prix des fruits et légumes ont relativement baissé ces derniers jours. Ce n'est pas le cas dans ce marché. A titre d'exemple, la pomme de terre se vend ailleurs 35 DA, alors qu'au marché Ali Mellah, elle s'affichait, hier, à 45 DA. Sans oublier également les hausses des prix des autres légumes. Les marchands de Ali Mellah, selon des indiscrétions, profitent de la clientèle dite « huppée » pour afficher des prix élevés. Les plus pénalisés sont évidemment ceux qui habitent le quartier. Baraki : 540 millions de dinars pour préserver l'environnement dégradé En prévision des maladies et risques émanant de la pollution, l'administration locale vient d'engager une enveloppe financière pour assainir le cadre de vie dans les sites connaissant une dégradation flagrante. en plus d'une rude et pluvieuse saison, les ordures s'entassent devant les maisons situées dans les quartiers peuplés et les cités urbaines comme celle de 2004 Logements. Malgré l'effort consenti ces derniers jours par les services de l'hygiène communale, beaucoup reste à faire : chaussées, places publiques et la station de bus en sont l'exemple édifiant. Sidi Moussa : Des locaux pour les jeunes Le service social de l'apc est chargé d'établir une liste des besoins des jeunes en matière de locaux commerciaux. C'est après l'affectation d'une importante enveloppe financière par la wilaya d'Alger que les responsables locaux s'intéressent à mettre à jour la liste des locaux existant au niveau des différents quartiers de la ville. Une cinquantaine de locaux sont réalisés dans le cadre de 100 locaux par commune. Programme initié par la tutelle depuis 2005 L'absence de terrains a retardé l'achèvement de la deuxième tranche. Par ailleurs, le p/apc avait, lors d'une rencontre avec les responsables de la wilaya déléguée de baraki, ordonné aux services de l'apc d'exploiter les terrains au niveau des prolongements urbanistiques dans le but de réaliser le maximum de locaux. A cet effet, les agrégés du cfpa et les diplômés universitaires seront, assure-t-on, privilégiés dans les nouveaux emplois (services, entretien, vente de produits agricoles et alimentation générale). Sidi M'hamed : Le jardin qui fait peur Le jardin de la place du 1er Mai, situé à proximité des arrêts de bus de l'Etusa, pourtant réhabilité il y a une année, est devenu le lieu de prédilection des délinquants. Situé à quelques mètres de la Centrale syndicale, ces lieux réservés initialement aux personnes âgées et aux familles sont squattés par des drogués et des amateurs d'alcool. Alors que la petite buvette reste fermée pour on ne sait quelle raison. Même la crèche publique n'est pas épargnée par les désagréments causés par cette délinquance.