Des efforts sont continuellement déployés pour assurer le maximum de loisirs, de détente et de culture. Amir Mohand Ourabah, le nouveau directeur qui a succédé à Aliane Rachid parti à la retraite, ne ménage aucun effort pour que tous les jeunes de la région puissent s'épanouir et se cultiver dans les meilleures conditions possibles. Quand Mhenni Sadi, premier responsable de cette structure de jeunes, a ouvert cet établissement en 1968, il n'y avait pas grand-chose pour occuper les jeunes. Aujourd'hui, on note une multitude d'ateliers où activent des formations de musique, de théâtre pour enfants, de dessin, d'art plastique, de caricature, en passant par la danse, le tennis de table, la bibliothèque, l'Internet…etc. On y trouve également une bibliothèque et une médiathèque dotée de postes pour l'Internet. Près de 300 jeunes fréquentent quotidiennement ces espaces. La maison de jeunes de Bouzeguène, grâce à ses jeunes adhérents répartis dans les différents groupes de théâtre et de chorale, de tennis de table, de peinture…ont remporté des titres honorifiques à l'échelle wilayale et régionale et en prenant part dans de nombreux festivals inter-régions. Toutes ces activités n'auraient pas réussi sans la présence de Mourad Djaout, un animateur de jeunes qui, de par son expérience, fait un excellent travail en intéressant les enfants dans leur quête d'apprentissage. Il faut signaler par ailleurs, que les maisons de jeunes d'Aït Zikki et d'Illoula Oumalou, à l'instar de celle de Bouzeguène, ne désemplissent guère grâce à leurs riches programmes d'animation culturelle qui attirent beaucoup de jeunes durant les week-ends et les vacances scolaires. La médiathèque pour Internet galvanise un public avide de connaissance et d'évasion.