Le coup d'envoi de cette manifestation a été donné dans l'après-midi de ce lundi au siège de l'AFEPEC sise à la rue Monge à Haï El-Emir (Ex-Miramar). Le programme, qui a été communiqué par l'AFEPEC, a prévu, à partir de 16 heures, un vernissage au sein de la nouvelle galerie de travaux de peintures collectifs de jeunes artistes. Celle-ci a été précédée par la présentation d'un monologue traitant de la question de la femme suivi d'un spectacle de musique. Ce programme comporte des conférences, rencontres littéraires, des ateliers de réflexion au profit d'une trentaine de jeunes autour du thème : «Les mythes sur le mouvement féministe». Pour le samedi 6 mars, il est programmé, à la cinémathèque, la projection d'un film documentaire : «Lettre à ma sœur», en présence de la réalisatrice Habiba Djahine. Ce documentaire retrace le parcours de la militante Nabila Djahine. Dans un communiqué publié à l'occasion de la célébration du 8 Mars, l'Association Féminine pour l'Epanouissement de la Personne et l'Exercice de la Citoyenneté invite le gouvernement à prévoir la levée de ses réserves relatives à la Convention pour l'élimination de toutes formes de discrimination à l'égard des femmes. Pour sa part, FARD, dont le coup d'envoi de ce programme qui sera donné le 6 mars, prévoit à cette occasion un mois de manifestations. Ce mois culturel et social est placé, selon la présidente, sous le signe de la lutte contre la violence faite aux femmes, une question des droits humains de la personne. Les grandes lignes de ce programme, qui ont été communiquées, ce mardi, prévoient, jusqu'au 25 mars prochain, une série de manifestations et rencontres entre femmes.