Toutes nos plages ne sont pas gratuites Pour une baignade salvatrice en ces moments de grandes chaleurs, les citoyens, surtout les pères de famille, doivent payer chèrement leur journée. En effet, malgré les assurances des responsables de ce secteur, tourisme, structures locales et wilayale, personne ne peut mettre les pieds dans l'eau sans que plusieurs petits trabendistes viennent vous obliger à débourser pour le stationnement, pour la chaise, le parasol, etc. Aucun objet personnel n'est admis par ces « concessionnaires » qui font et défont les vacances des algériens. Il y a certainement quelques plages qui échappent à ce diktat, mais les promesses d'avant la saison estivale n'ont pas été concrétisées sur le terrain. Cela dure depuis plusieurs années et se prolongera certainement l'été prochain aussi. Portes ouvertes à l'INFS/STS d'Alger En prévision de la rentrée universitaire 2009/2010, l'Institut national de formation supérieure en sciences et technologie du sport, Rachid Harraigue, de Dély Ibrahim (Alger), organise à partir d'aujourd'hui 1er août et ce, jusqu'au 6 août, les Portes ouvertes pour expliquer les modalités pour l'accès à la formation en vue de l'obtention du DES (diplôme d'études supérieures) en sciences et technologie du sport dans les filières sportives et management du sport. Par ailleurs, les athlètes d'élites titulaires du baccalauréat sont admis pour les deux filières. Le pain et ses différentes variétés en exposition Au moment où de nombreux boulangers ont préféré fermer boutique et partir en vacances sans avertir personne, une exposition est en préparation pour nous relater les différentes variétés du pain traditionnel. Cette dernière sera organisée par la Chambre des métiers et de l'artisanat de la wilaya d'Oran au courant du mois de Ramadhan. Des boulangers de la wilaya animeront cette manifestation, la première du genre, qui contribuera certainement à apporter des améliorations à ce produit de large consommation. Des bouteilles de jus impropre à la consommation Quelque 2 000 bouteilles de jus de fruit fabriquées clandestinement, ont été saisies durant la semaine écoulée dans la localité de Chbaïta Mokhtar à El Tarf. La saisie de ce produit « impropre à la consommation », conditionné dans 560 bouteilles de grand modèle et 1440 flacons de moindre contenance, a été opérée dans un magasin de vente de boissons gazeuses où les policiers ont également mis la main sur une « importante » quantité d'un produit servant à la fabrication de cette boisson. La marchandise présentait également un défaut d'étiquetage et ne contenait aucune indication quant aux dates de fabrication et de péremption. Le fabriquant, qui exerçait sans registre du commerce, écoulait clandestinement son produit à travers la commune de Chbaïta Mokhtar et dans d'autres localités voisines, sans se soucier des graves conséquences que pouvait induire la consommation de ce produit, surtout en période d'été. Ouled El Houma multiplie ses initiatives L'association, Ouled El Houma, chargée des activités en milieu carcéral, a reçu les experts d'une organisation internationale nommée Search For Commun Grounds dont le siège est à Washington (USA). Cette association est spécialisée dans la prévention et la résolution des conflits ainsi que la médiation dans le milieu carcéral dans le cadre d'un projet régional incluant l'Algérie, le Maroc et la Tunisie. L'association a été destinataire d'un message de remerciements de la directrice de cette importante organisation internationale, Mme Suzanne Musking qui a précisé que les informations recueillies lors de cette visite « nous ont permis d'apprendre beaucoup à propos de l'Algérie ». Ouled El Houmma prend des initiatives encourageantes qui ont un large écho en dehors de nos frontières. Les cybercafés refuges des jeunes En cette période de canicule, tous ceux qui n'ont pas la chance d'aller en vacances se réfugient dans les cybercafés. On constate que la moyenne d'âge des cybernautes varie globalement entre 16 et 45 ans. En effet, cette frange d'Algériens conjugue évasion, rêve, réalité et utilité. La majorité utilise l'e-mail pour maintenir les liens avec la famille, garder le contact avec les amis et échanger des données professionnelles. L'utilisation à des fins privées prédomine avec le chat pour échanger et se distraire, mais aussi pour multiplier et favoriser les rencontres plus faciles virtuellement. Cette affluence risque de durer, surtout que la connexion internet à haut débit des ménages reste peu répandue. Allergique à son... bébé Peu de temps après son accouchement, une jeune mère a découvert qu'elle était allergique à son bébé après avoir développé des cloques et des éruptions cutanées.La maman, 28 ans, ne pouvait pas bercer son nouveau-né, ou simplement le prendre dans ses bras à cause de la douleur que cela lui infligeait. La jeune mère devait se couvrir de vêtements en mousseline, si elle voulait approcher son enfant. Après une biopsie de la peau, les médecins ont diagnostiqué une pemphigoid gestationis, une maladie de la peau rare causée par une réaction allergique à son bébé développée durant la grossesse. La maman a reçu un traitement à base de stéroïdes, et après un mois, les cloques ont disparu, permettant à la jeune femme de serrer son fils dans les bras sans en souffrir. « L'idée de ne pas être capable de porter mon enfant pendant si longtemps était insupportable. Quand on m'a dit que j'étais allergique à mon propre bébé, j'ai pensé que c'était une blague. Un câlin de son enfant est la chose la plus précieuse au monde et aujourd'hui je peux le faire, c'est le paradis. Je n'ai plus envie de le lâcher. » Le bio remis en question Les partisans du bio vont broyer du noir. Alors qu'ils paient plus cher les produits bio (environ 25%) parce qu'ils pensent qu'ils sont meilleurs pour la santé, un examen systématique de 162 études scientifiques publiées au cours des 50 dernières années n'a fait apparaître aucune différence significative. « Un petit nombre de différences dans le contenu nutritif a été relevé entre les produits alimentaires bio et ceux de l'agriculture ordinaire, mais il est improbable qu'elles soient d'une importance quelconque pour la santé publique », a déclaré l'un des auteurs du rapport commandé par l'agence britannique des normes alimentaires (Food Standards Agency). « Notre examen conclut que, sur une base nutritionnelle, il n'y a actuellement aucun élément en faveur du choix de produits alimentaires bio plutôt que d'aliments produits de manière conventionnelle ». Les ventes de produits bio ont baissé sur certains marchés, notamment en Grande-Bretagne, en raison de la récession qui a contraint les consommateurs à réduire leurs dépenses. Le marché du bio était estimé à 48 milliards de dollars en 2007, notent des chercheurs de la London School of Hygiene & Tropical Medicine.