«Il s'agit de projets volontaristes», a-t-il déclaré. «Les 2 projets sont à l'arrêt depuis des années et le coût des travaux est devenu exorbitant», a-t-il indiqué. A Damous, le chef de l'exécutif de la wilaya s'est rendu compte que l'installation d'un transformateur n'a pas été inscrite dans ce projet de marché de gros qui doit être alimenté en énergie électrique. L'accès à cette infrastructure commerciale de Damous pose encore des problèmes. Quant au projet du marché de gros des fruits et légumes de Cherchell, il a été implanté à proximité d'un complexe sportif semi-olympique de plus de 10 000 places, un projet de réalisation d'un site universitaire et enfin une cité de plus de 400 logements sociaux. Les autorités de daïra et communales de Damous et de Cherchell avaient manqué de volonté. Leur laxisme et l'absence de contrôle dans ces deux projets avaient contribué à ce retard dans la réalisation de leurs projets respectifs, selon un responsable.