La réhabilitation «suspendue » Les habitants des cités des Cinq fusillés et Doudou Mebarek (450 logements), qui avaient salué l'entame de la réhabilitation de la route donnant accès à leurs habitations, déchantent ces derniers temps puisque l'opération a été suspendue pour on ne sait quelle raison. Devant le manque de communication de la municipalité, qui met du temps à réaliser les opérations inscrites dans son plan d'action, nul n'est en mesure d'expliquer cet arrêt qui coïncide avec la saison hivernale. Les responsables de ladite municipalité qui ne mesurent apparemment pas les désagréments causés aux habitants de ces lieux, sont interpellés pour relancer la réhabilitation et mettre ainsi un terme au calvaire des citoyens qui pataugent dans la gadoue.
El Eulma : Un citoyen agressé et délesté de 180 000 DA Un citoyen, commerçant de son état, a été agressé jeudi après la prière d'El Icha près de sa maison, à la cité Saou Meziane, par quatre individus, agissant à visage découvert. Ces derniers, qui l'ont ligoté avant de le faire entrer de force dans son domicile, l'ont délesté de 180 000 DA ainsi que des bijoux de son épouse estimés à plus de 500 000 DA. La victime a immédiatement déposé plainte auprès de la sûreté de la daïra d'El Eulma, laquelle a aussitôt ouvert une enquête. Cette agression est à ajouter à une liste déjà longue au niveau de la seconde ville de la wilaya de Sétif.
Mechta Smara : Vol de 30 ovins Après une brève accalmie qui n'aura duré que quelques semaines, les vols de cheptels dans la daïra d'El Eulma, reprennent de plus belle. Et pour cause, avant-hier, une bande de malfrats, dont le nombre n'a pas été précisé par le propriétaire, s'est emparé d'une trentaine de moutons. Les voleurs, qui connaissent les lieux, ont ouvert l'étable avant d'embarquer les bêtes vers une destination inconnue. Le vol n'a été constaté par l'éleveur qu'au petit matin. Une vaste opération de recherche a été déclenchée à travers toute la région nord, fortement boisée, sans résultat. Selon l'un des fils du propriétaire, il n'y a aucune trace des bêtes ; c'est comme si elles s'étaient envolées. Auraient-elles été chargées dans un camion installé tout près de l'étable ? Une plainte a été déposée auprès de la Gendarmerie nationale.