Un tel lot de contrats est réparti ainsi: 2606 CID (contrats d'insertion des jeunes diplômés). Un autre quota de 2478 Contrats a été réservé à l'insertion professionnelle (CIP). Pour celui qui concerne la formation insertion (CF I), on a dénombré, entre autres, 1585 contrats. Hormis le secteur de l'Education qui est le premier qui a assuré plus de 5000 postes d'emploi de ce genre, celui des finances vient juste après avec 1689 suivi par le secteur administratif avec 133 contrats d'insertion. A signaler que la surexploitation du monde juvénile reste impunément le dictat du marché du travail. En effet, ce sont des receveurs, des plongeurs ou garçons de café qui gagnent 200 DA contre 19 heures de labeur (de 4h à 23h). Pour la même somme, les moins chanceux de ce monde de l'innocence se perdent à travers les chantiers exposés aux aléas climatiques.