-Une judoka ivre au volant à Alger Le scandale d'une judoka algérienne, ancienne championne d'Afrique junior, actuellement en détention préventive pour délit de conduite en état d'ivresse, a fait le tour de la capitale. Cette affaire sans précédent a été à l'ordre du jour au niveau du ministère de la Jeunesse et et des Sports, en présence du ministre en personne. Après le verdict de la justice, la judokae, âgée de 23 ans, qui n'a pas participé aux Jeux arabes, risque la radiation à vie car il est interdit de badiner avec la discipline, apprend-on auprès de la tutelle. -Le prix du Méritant 2011 décerné à un handicapé moteur Le prix du Méritant 2011, initié par l'Association d'aide aux malades démunis (ADAM), a été décerné, jeudi, à Alger, à Salim Haouat, qui a réussi malgré un handicap congénital à obtenir un diplôme de pharmacien et à mener une vie professionnelle active. M. Haouat, âgé de 30 ans, résidant à Constantine, présente un handicap physique depuis la naissance. Il est en effet atteint d'une agénésie des quatre membres (ses mains et ses pieds ne se sont pas développés). Le lauréat, qui a fait des études en pharmacie, exerce actuellement en tant que praticien spécialiste assistant de santé publique au laboratoire de toxicologie du CHU de Constantine. -A l'heure du métro, encore des bus sales Les Algérois se mettent au métro pour sa rapidité, son efficacité et surtout sa propreté. Ils font dans la comparaison depuis peu et s'aperçoivent que les véhicules de transport collectif terrestres offrent à leurs usagers une mauvaise image. Les transporteurs font des courses folles pour ramasser le maximum d'argent et oublient souvent de nettoyer leurs engins mécaniques. Les prestations sont médiocres, et rares sont les véhicules qui font l'objet d'un entretien. A l'heure du métro dont les Algérois ont hâte de voir l'extension, les étudiants, travailleurs, retraités, femmes se font transporter dans des conditions indignes des clauses du cahier des charges auxquels doivent se soumettre les opérateurs quotidiennement. Le ministère de tutelle a été interpellé plusieurs fois, en vain. -Indisponibilité du foncier pour les morts à Bourkika Le président de l'APC de Bourkika, dans la wilaya de Tipasa, est intervenu lors d'une séance de travail en présence de ses administrés pour se plaindre de l'indisponibilité du foncier dans sa commune. Cette situation bloque toutes les initiatives de développement. «Si je comprends bien, lui réplique le wali de Tipasa devant l'assistance, dans cette commune, les vivants et les morts n'ont pas de terrain pour construire leurs maisons et pour creuser des tombes». La préconisation d'une étude de révision des instruments urbanistiques (PDAU, ndlr) s'impose aujourd'hui afin d'assurer une extension de cette commune. -La plus petite femme au monde est une Indienne La plus petite femme en vie dans le monde est une lycéenne indienne qui mesure 62,6 cm, a annoncé l'organisation des records Guinness. Jyoti Amge a reçu le titre à l'occasion de son 18e anniversaire célébré en famille à Nagpur, à 520 km à l'est de Bombay, dans l'ouest de l'Inde. La jeune femme a reçu avec le sourire son certificat. Jyoti Amge, qui souffre d'achondroplasie, une maladie de l'os maintenant son corps à la taille d'un bébé de quatre mois, rêve d'une carrière de cinéma à Bollywood.