L'installation des commissions de candidatures se poursuit L'opération de renouvellement des bureaux des 13 sections syndicales représentant les 8 000 agents et cadres de la commune d'Oran se poursuit activement dans les différentes divisions techniques et administratives où sont installées les commissions de candidatures pour permettre aux agents d'élire leurs représentants. Pour l'heure, six assemblées générales ont été tenues successivement au niveau des divisions des travaux neufs et de maintenance (DTNM) de la voirie et de la circulation (DVC), de la protection de l'environnement (DPE), des magasins généraux (DNMG), de l'état civil. Cette campagne a été précédée par l'élection du conseil syndical communal avec, à sa tête, Ahmed Mentfekh, secrétaire général. Recensement des médecins et pharmaciens Une campagne de recensement des médecins et pharmaciens de la wilaya d'Oran a été lancée hier par un bureau d'études privé afin de constituer un guide intitulé « Mon Choix », au profit des professionnels de la santé, tous corps confondus. Pour les promoteurs de cette initiative à but non lucratif « c'est un annuaire pratique pour offrir aux patients des moyens plus faciles, moins onéreux et plus rapides à même de résoudre leurs problèmes ». Ce manuel aura aussi l'avantage de regrouper les praticiens de la santé pour rapprocher les médecins des patients. Le but du projet vise à atténuer les difficultés des citoyens à trouver le médecin de leur choix. Outre le manuel pratique, le bureau d‘études envisage un site Internet et un CD Rom comme support informatif pour chacun des médecins. Vieux bâti : Appel de détresse de 12 familles 12 familles occupant une vieille bâtisse sise au 15, rue Ferroukhi Mustapha (ex-Cavaignac), au centre-ville, lancent un appel de détresse pour attirer l'attention des autorités locales. Ces familles tentent de survivre dans des conditions de vie des plus sommaires dans une habitation R+1 datant de l'époque coloniale. Un représentant de ces familles a confié, en exhibant des documents justificatifs : « Nous sommes victimes d'un certain laxisme malgré tous les constats établis par les institutions concernées ». En effet, un état des lieux notifiant une évacuation en urgence des locataires, en raison du risque d'effondrement, a été consigné par la Protection civile et les services techniques de l'OPGI. Cependant, aucune suite n'a été donnée pour un éventuel relogement.