Prévue pour novembre prochain, la deuxième édition du congrès interculturel, organisé par Fanny Abadi, Franco-Algérienne, écrivaine, titulaire de diplômes d'Etat dans les domaines de l'éducation, de la psychologie sociale, de l'administration économique et de la philosophie pratique, est l'objet de supputations et d'accusations acharnées. C'est de la ségrégation raciale purement et simplement », a indiqué, dépitée, Mme Abadi. Regroupant une centaine de sommités mondiales, à l'image des professeurs Henri Joyeux et Albert Jacquard, la rencontre multidisciplinaire, sous l'égide d'un comité scientifique, est réduite, pour une presse locale, à une manifestation sectaire dont les organisateurs et les participants ignorent tout des contours. A qui profite toute cette cabale ? Le congrès, dans sa première édition, a prouvé sa richesse et atteint ses objectifs de promotion des échanges interculturels pour la paix. Il a permis d'offrir une étincelle de conscience sur les différences des cultures… L'année dernière déjà, à la veille de la tenue du congrès, le même journaliste malveillant s'était élevé, par le biais du même journal et avait suscité cette polémique, pour jeter le trouble, effrayer les lecteurs par des accusations sectaires. Pourtant, même la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, qui est à cheval sur tous les dépassements, n'a jamais reproché quoi que ce soit à l'institution de Mme Fanny Abadi. C'est pourquoi, l'année dernière, Mme Abadi avait porté plainte et l'affaire est toujours en cours. « J'ai confiance en la justice », dit-elle. « Les participants sont tous des artistes, des écrivains, des médecins spécialisés, des journalistes, ces calomnies sont inacceptables et sont une insulte pour nous tous. Ces agissements sont une honte pour la France qui est un pays de droit et de démocratie ! ». Organisée sous le thème « Science, art et sacré », la rencontre dérange parce qu'elle est l'œuvre d'une femme qui a gravi les échelons avec ses capacités intellectuelles. « Malgré les insultes et le harcèlement continus de ce journaliste rédacteur de cet article calomnieux et diffamatoire, je refuse d'alimenter la polémique et de lui permettre de verser son venin de haine sur un espace de rencontre entre l'Orient et l'Occident. Je persiste à penser qu'il s'agit d'une affaire de personnes. Que tout le monde sache que j'entretiens de bonnes relations avec les gens de ma ville, la presse et également les élus. Les propos attribués à certains élus sont infondés et entretiennent une manipulation qui n'a rien à voir avec le congrès. Je vous informe que le Congrès interculturel aura lieu dans un cadre somptueux », déclare sereinement Mme Fanny Abadi, qui est aussi directrice du Centre éthique international. « Dans l'espace de vous recevoir, je vous invite à prendre place avec intelligence du cœur et de la raison afin de permettre une action simple et non détournée, d'échanger et de partager ensemble sur l'éthique et la transmission… un devenir possible. »