Des travaux et des désagréments Les travaux de réhabilitation des câbles électriques souterrains lancés par la SDE à la rue Abdelhamid Benbadis (ex-Alexis Lambert), dans le quartier de Rabaîne Cherif, et confiés à une entreprise privée, durent déjà depuis deux mois, avec tous les désagréments causés aux riverains. La circulation y est devenue difficile. Selon un responsable de la société chargée de cette opération, de nombreuses difficultés ont été rencontrées sur site pour le renouvellement d'une bonne partie des câbles se trouvant dans une situation de dégradation importante, ce qui a causé souvent des coupures de courant, surtout à cause des fortes chaleurs pendant l'été. Selon le même responsable, cette opération devrait être achevée incessamment, avant d'entamer les mêmes travaux dans le quartier de Charaâ, situé entre les rues du 19 Juin 1965 et Tatache Belkacem. Pour rappel ces travaux font partie du plan d'urgence tracé par la SDE pour le renouvellement des réseaux électriques de certains quartiers de la ville, pour assurer une bonne alimentation en énergie en prévision du mois de Ramadhan. Yousra Salem
Le réseau 50 au palais de la culture Malek Haddad : une toile géante sera réalisée par un florilège d'artistes La toute jeune association des plasticiens algériens (APA), -née tout juste le 26 mai dernier-, dont le président n'est autre que l'artiste peintre et sculpteur Ammar Allalouche, organise du 17 au 25 juin en cours, des journées portes ouvertes sur les arts dans le cadre du «Réseau 50 from Algeria», en collaboration avec le palais de la culture Malek Haddad. L'objectif de cette manifestation est, selon le président de APA, de «créer une dynamique et instaurer un esprit de solidarité entre les artistes, en les faisant adhérer aux projets culturels susceptibles d'enrichir Constantine, et par ricochet tout le pays». La plus heureuse des initiatives pour cette manifestation est, sans contexte, l'œuvre géante qui sera réalisée tout au long de l'exposition par tous les artistes participants. Avec ce titre prometteur de «Pour que renaisse l'espoir», celle-ci prendra place au musée national Cirta. Outre cela, les travaux d'une pléthore d'artistes peintres tapissent d'ores et déjà la quasi-totalité des murs de la grande salle du palais de la culture. Les esthètes pourront également apprécier des mini-concerts musicaux (Karim Dellouche), des récitals poétiques (Malika et Salim Baghli) et des conférences de haute facture sur les arts. Pour ces dernières, nous citerons à titre d'exemple, celle de Ammar Allalouche «Art et mémoire, le cas Arts plastiques au Maghreb», de l'artiste Ahmed Bouzidi : «Comment développer la volonté de l'artiste», de Abdeslem Ikhlef «Art moderne, fonction et perspectives », du Pr. Abdelmalik Merouani, musicologue, «Zyriab entre mythe et réalité», de l'artiste Mohamed-Salah Ghemired «Création et créativité» et celle de l'artiste plasticienne, Latifa Boulfoul «La connaissance de l'art »… Un hommage sera également rendu à feu Mahmoud Taoutaou, artiste plasticien et fondateur de l'école des beaux-arts de Constantine. Farida Hamadou
Ali Mendjeli : une nouvelle responsable à l'EPH Abdelkader Bencharif Une nouvelle directrice a été désignée récemment à la tête de l'établissement public hospitalier (EPH) Dr Abdelkader Bencharif, de Ali Mendjeli. Il s'agit de Mme Salima-Rafika Bendilmi, «une excellente gestionnaire», selon beaucoup, qui cumule des années d'expérience dans le domaine, ayant exercé dans plusieurs établissements de santé dont le dernier en date est l'EPH El Bir. Connue pour son dynamisme et son sérieux, la nouvelle responsable a vraiment du pain sur la planche pour redresser la situation, qualifiée de catastrophique par des riverains et autres malades, de l'EPH de Ali Mendjeli. F. H.