Aadl Ouled Fayet : Les résidants des Bts 11, 12 bis et 14 sans ascenseur Cela fait plus de six mois que les résidants des bâtiments n°11, 12 bis et 14 de la cité Aadl de Ouled Fayet sont sans ascenseurs. Ces habitants éprouvent d'énormes difficultés pour rallier leur logement et monter, pour certains, les 9 et 16 étages des énormes tours. Ces résidants, qui ont pris attache avec notre rédaction, affirment qu'ils ont interpellé tous les responsables de cet organisme en vue de réparer ces ascenseurs mais que leurs doléances sont restées lettre morte. Qahouet Chergui : La trémie de tous les désagréments Cela fait près de trois ans que le projet de réalisation d'une trémie à Qahouet Chergui, dans la commune de Bordj El Bahri, a été lancé en grande pompe dans le cadre du désengorgement de cette localité. Depuis lors, les travaux avancent à pas de fourmi causant des désagréments aux automobilistes et autres piétons. Les habitants de cette région s'interrogent sur les raisons de ce retard, sachant que des trémies ont été réalisées dans un délai de trois et six mois comme cela a été le cas pour le projet du Maurétania (Alger-Centre) ou celui des Deux- Bassins à Ben Aknoun. « Y a-t-il deux poids, deux mesures même dans la réalisation des projets selon le quartier qu'il soit chic ou pas ? », s'interrogent les habitants qui interpellent le ministre des Travaux publics afin de diligenter une commission d'enquête et de sanctionner les responsables de ces retards. El Maqaria : Le marché toujours fermé Le marché communal de la commune de Maqaria (ex-Leveilley) demeure fermé en dépit des écrits de la presse nationale. Ce bâtiment, qui a dû coûter au Trésor public plusieurs centaines de millions de centimes, est, depuis plusieurs années, inopérant. Aucun commerçant ne daigne exposer sa marchandise à l'intérieur préférant baigner dans un environnement d'insalubrité des plus incroyables. En dépit de l'existence de plusieurs dizaines d'étals de fruits et légumes et des locaux commerciaux à l'intérieur de cette structure, les vendeurs légaux et ceux communément nommés « vendeurs à la sauvette » préfèrent écouler leurs marchandises aux alentours du marché. C'est ainsi que ruelles et entrée principale du marché sont, dès le lever du soleil, obstruées, et occupées des deux côtés et jonchées de détritus.