Considérée comme une annexe pour les écoliers et les sportifs qui suivent des formations et des cours de soutien, cet espace culturel est occupé, depuis, par des éléments de la BMPJ (Brigade mobile de la police judiciaire). Suite à cette fermeture, les jeunes qui attendent impatiemment sa réouverture, se voient privés et exclus des compétitions et des activités interrégionales. Pourtant dans cette région, nombreuses sont les associations qui activent dans le cadre culturel et scientifique. «La fermeture de cette structure nous a pénalisés. Nous sommes dans la contrainte de renoncer à plusieurs activités car nous n'avons pas une structure adéquate pour tenir des réunions et organiser des programmes», dira Samir, un étudiant et adhérent d'une association culturelle. «Cela fait des années que nous luttons pour la restitution de notre cadre d'activités. Nous interpellons une autre fois les pouvoirs publics pour nous trouver une solution à ce problème», clame un lycéen. Par ailleurs, à cause de la fermeture de cette auberge, plusieurs concours et compétitions ont été annulés.