Aïcha Nouaceur, une des plus anciennes ??? de la ville de Ouargla sera dotée d'un vestiaires pour les filles et les garçons et profitera d'amendements de la part de l'APC pour promouvoir le sport au sein de la commune. Cette expérience s'étendra à d'autres établissements et permettra ainsi aux jeunes enfants et aux plus âgés d'avoir accès à la pratique sportive qui est essentielle pour leur développement. Les bénévoles qui encadrent cette initiative sont des chevronnés du mouvement scientifique national et qui ont fait leurs preuves au plus haut niveau international, tel qu'Ahmed Bendifallah, ancien champion d'Afrique et président de la fédération d'athlétisme et d'haltérophilie, Smaïl Henida, entraîneur fédéral de football, Henida Lotfi, ancien sélectionné national en handball représentant la région de Ouargla, Ben Ahmed Mohamed, entraîneur en volley-ball. Trois autres opérations de prospection seront organisées par le Foreps d'ici à juin prochain pour cerner les potentialités et peut être de jeunes talents. Le programme sera mis en place dès le mois de septembre prochain. «C'est de licencier ces jeunes auprès des ligues scolaires et spécialisées et d'autre part demander à être exonérer des frais de licence.» Ahmed Bendifallah estime que le Foreps s'inscrit dans l'optique des ministères de la Jeunesse et des Sports en matière de formation des jeunes. Pour notre interlocuteur, des demandes seront expressément formulées aux différentes fédérations nationales afin de permettre l'encadrement du maximum de jeunes talents de la wilaya de Ouargla. Pour ce qui est de l'opération de vendredi dernier, cinq ateliers ont été mis en place à savoir le football, l'haltérophilie athlétisme, le volley-ball, le handball et le jeu d'échec. Le déroulement s'est fait sur la base des desiderata au début, selon des fiches de renseignements et un dossier administratif, les orientations préliminaires ont privilégié l'athlétisme comme discipline de masse à en croire les organisateurs. «Beaucoup de jeunes ont demandé une formation en natation en plus de l'athlétisme», note M. Bendifallah, qui estime que cette initiative relance le débat sur la généralisation des bassins de natation au Sud, il suggère de privilégier les initiatives privées pour promouvoir les investissements dans le domaine sportif jusqu'ici considéré comme l'apanage de l'Etat.