Un égout aurait éclaté et les autorités de l'APC ou de les responsables de la Seaal n'ont jamais pris la décision de le réparer, au grand dam des riverains et des piétons. Les habitants craignent la propagation des MTH en cette période de grandes chaleurs. Même située au centre de la capitale, cette rue est complètement délaissée : des ordures s'amoncellent sur les trottoirs défoncés. Les piétons sont souvent obligés de marcher sur la chaussée, là aussi encombrée par les véhicules qui stationnent le long de la rue. Les travaux de pose de nouveaux carrelages n'ont pas concerné la rue Hamani, où les commerçants ont été contraints par les services techniques de l'APC de ravaler les façades de leurs boutiques.