La flotte des bus de transport scolaire renforcée Pour assurer le transport scolaire des élèves habitant les zones rurales, une cérémonie de distribution de 12 bus a été organisée jeudi dans la wilaya d'Oran. La wilaya d'Oran a déjà bénéficié d'autres quotas de 16 bus. Mais cela reste insuffisant car malgré les importants budgets accordés chaque année au secteur de l'Education, plusieurs petites communes souffrent du manque en infrastructures éducatives, notamment dans les cycles moyen et secondaire. Les élèves continuent de parcourir des kilomètres pour joindre leurs établissements scolaires. Par ailleurs, et à l'occasion de la prochaine saison estivale, certaines communes côtières ont bénéficié d'équipements d'entretien des plages comme les cribleuses. La wilaya a aussi débloqué des subventions de 6 milliards de centimes au profit des EPIC Oran-Propreté,Oran-vert et ERMESO. Chaque entreprise a bénéficié de deux milliards de centimes. Il s'agit de subventions accordées par la wilaya pour aider ces trois entités publiques à réaliser certains projets d'aménagement et d'entretien de leurs bâtiments. 600 milliards de centimes ont été débloqués pour le raccordement de 6 communes dont Tafaroui, Aïn el Kerma, Bousfer et El Ançor, au réseau d'alimentation en gaz de ville.
Le «chèque secours» en vente dans les cybercafés ! Les cybercafés d'Aïn El Turck ont trouvé un filon très lucratif avec les «chèques secours» désormais introuvables dans les bureaux de poste, et qu'ils revendent à 20 DA l'unité. Un commerce assez florissant si on se fie à la forte demande des abonnés d'Algérie Poste, dont les carnets de chèques n'arrivent pas ou mettent du retard, et qui n'ont d'autre choix que de se rabattre sur ces revendeurs providentiels. De l'aveu de certains agents d'Algérie Poste, ces imprimés s'épuisent très vite, les quotas reçus par chaque bureau demeurent insuffisants. Pour les gérants de cyber, il leur suffit de télécharger ce document sur Internet pour le revendre au prix de 20 DA. Inutile de décrire la colère des citoyens qui sont obligés de débourser cette somme même modique pour un imprimé censé être disponible dans les bureaux de poste.