On parle d'addiction à facebook lorsqu'on ne peut se passer de ses contacts virtuels, de son smartphone ou de ne plus poster une publication. La dépendance est tellement forte que la liberté d'agir est perdue, on devient prisonnier de nous-mêmes, et de ce réseau social. «Je ne vois pas ma vie sans facebook», nous avoue Assia, 22 ans, étudiante en langue et littérature française. Un autre étudiant nous déclare également passer tout son temps libre sur ce réseau social: «Je suis toujours sur mon compte facebook, je change régulièrement de photo, de profil et je consulte toutes les minutes mes notifications». Mourad, 21ans : «Quand ce réseau social envahit notre quotidien, le plaisir disparait». C'est ce que nous atteste Amine, 20 ans, étudiant en droit. «Je ne peux pas passer une journée sans consulter mon compte facebook et sans y poster une publication, je ne saurais expliquer pourquoi. Néanmoins, cela devient une habitude. Il est vrai que parfois ce n'est plus un plaisir mais une obsession». Facebook est décidément une «drogue» pour les utilisateurs interrogés.