Inondations récurrentes à Alger-Plage La localité d'Alger-Plage, dans la commune de Bordj El Bahri, a connu jeudi dernier des inondations au niveau de son artère principale, plus précisément au lieudit Ihadane. Le peu de pluie qui est tombée en l'espace de deux heures seulement a complètement inondé l'axe routier qui mène vers Tamentfoust et a également fini par envahir, comme à l'accoutumée, les quelques maisons individuelles qui bordent la route. Pour rappel, ce problème, qui gâche considérablement la vie des habitants de ce quartier, ne date pas d'aujourd'hui, puisque à la moindre averse aussi légère soit-elle, les habitants, impuissants, subissent les mêmes préjudices, sans pour autant que cela n'inquiète les autorités locales, « cela fait plusieurs années que nous subissons ces inondations et à chaque fois que nous nous présentons aux responsables locaux, ils nous rétorquent toujours la même excuse, celle qui consiste à dire que le quartier est situé en dessous du niveau de la mer », assure un habitant du quartier. Selon nos interlocuteurs, ce problème qui dure depuis maintenant plusieurs années n'est pas une fatalité, d'autant plus que la solution définitive existe, mais encore faut-il que les responsables locaux aient un brin de volonté pour la mettre en application. Sidi M'hamed : Zaâtcha va changer de look Après la récente opération de démolition des bidonvilles de Zaâtcha, relevant de la commune de Sidi M'hamed, cette surface de plusieurs hectares sera désormais un espace de loisirs. C'est ce qu'a décidé l'APC de Sidi M'hamed. Faut-il rappeler qu'après un calvaire de 30 ans vécu dans les plus anciens bidonvilles d'Alger, pas moins de 290 familles ont été relogées. Sidi Moussa : Intoxication au collège Raïs 2 Des cas de vomissements ont été enregistrés la semaine dernière dans le milieu scolaire à Raïs, localité relevant de la commune de Sidi Moussa. Une enseignante au collège de Raïs 2 a été souffrante ainsi que plusieurs élèves. Les établissements scolaires de Sidi Moussa ne disposent pas de cantines scolaires, les élèves ramènent alors à manger de chez eux ou parcourent des distances harassantes pour la « pitance » de midi.