Bodybuilding. C'est l'équivalent du culturisme. Ici le sportif ne cherche rien d'autre qu'à développer « la masse musculaire » dans une pure logique esthétique. Régime alimentaire spécifique, séances de musculations et périodes de « séchage » font le quotidien du bodybuilder. Power lifting. C'est un sport en voie « d'olympisation ». Axé autour de trois mouvements bien précis -le développé couché, le soulevé de terre et le squat- il se distingue du bodybuilding par l'absence d'objectif esthétique, et de l'haltérophilie par des mouvements plus basiques, des charges plus lourdes et une amplitude réduite. Haltérophilie. Discipline olympique par excellence depuis 1896, l'haltérophilie est un sport de force axé autour de l'arraché et l'épaulé-jeté. Il nécessite également une bonne maîtrise de l'élan, contrairement aux mouvements du power lifting axés autour de la simple force brute.