Les retraités de Sonelgaz non payés par la Muteg Depuis août 2009, les retraités de Sonelgaz subissent des altérations dans leur salaire. Les 20% de leur masse salariale que doit leur verser leur mutuelle (Muteg) accumulent des retards de plus de 3 mois. Les lettres de contestation ou les appels téléphoniques demeurent sans échos. Pourtant, la Muteg est prompte dans la réponse quand il s'agit d'élections de délégués, affirment-ils. Ces retraités qui ne vivent que de cette maigre pension ne demandent qu'une régularisation de leur situation. Ce qui se passe à la Muteg question gestion, ne les regarde pas. Ils ont assez trimé au fil des ans pour demeurer encore la main tendue. Y a-t-il des responsables pour leur assurer les 20% afin d'arrondir leur mois de salaire. La gare de Blida aux abonnés absents Au moment où les responsables de la SNTF parlent d'une grave crise financière qui secoue leur société, en allant jusqu'à demander des subventions de l'Etat pour pouvoir « joindre les deux bouts », la Société nationale du transport ferroviaire ne semble pas trop se préoccuper davantage de ses clients et renflouer ainsi ses « caisses ». Au niveau de la gare ferroviaire de Blida, le geste le plus banal qui est censé être assuré par les agents de cette société de service public, en l'occurrence répondre au standard téléphonique, n'est pas du tout respecté. Des citoyens attestent qu'ils n'ont jamais pu avoir les renseignements voulus concernant les nouveaux horaires relatifs à la circulation des trains durant le mois de Ramadhan. La raison : le standardiste de cette gare ne répond jamais au téléphone. Un laisser-aller confirmé par nos soins puisque nous avons, à maintes reprises, et depuis plusieurs mois même, essayé de joindre la gare de Blida, en vain. Un hôtel transformé en lieu de débauche à Mostaganem La police judiciaire de Mostaganem vient de mettre au jour un lieu de débauche en plein centre-ville. Il s'agit de l'hôtel El Djezaïer situé à la place du 1er Novembre, juste en face de la mosquée Badr. Ce sont le patron et 3 couples qui ont été déférés devant la justice pour création de lieu de débauche. Après audition, le procureur de la République a ordonné la mise en détention préventive des 3 femmes au niveau de la prison du Derb, tandis que les 4 hommes, dont certains appartiendraient à des familles connues sur la place, ont été incarcérés au niveau du centre de détention de Sidi Othmane. Pour cette activité licencieuse, le gérant de l'hôtel facturait la chambre à 3000 DA. Intervenant à l'entame du mois sacré du Ramadhan et impliquant des personnes connues, l'affaire aura fait grand bruit, d'autant que les prévenus sont dans leur majorité des quadragénaires. L'eau a une odeur d'égout à El Biar Le réseau d'eau potable à El Biar (Alger), précisément à la rue Ahmed Mazouz (Liberté), serait visiblement pollué. Dans le cas contraire, comment expliquer que l'eau du robinet présente, depuis quelques jours, une forte odeur d'égout ? Les ménagères ne savent plus où donner de la tête, après la cherté des produits de large consommation, voilà qu'elles doivent faire face maintenant à l'achat de l'eau. L'inconvénient, c'est que la situation ne semble pas trop inquiéter la Seaal puisqu'aucune de ses équipes n'a jugé bon de se déplacer sur les lieux pour déterminer l'origine du problème et essayer d'y remédier. La situation perdure même après que de nombreux citoyens eurent tiré la sonnette d'alarme et informé la Seaal du problème. Que faut-il pour que les responsables de cette « boîte » réagissent ? qu'il y ait mort d'homme ou une épidémie à grande échelle ?