La crise du manque d'eau a remis à la surface plusieurs problèmes qu'on avait pris l'habitude de relever à de rares occasions. D'abord, il y a celui de la maintenance des barrages. Keddara et Beni Amrane sont pratiquement à sec. Non seulement faute de pluviométrie conséquente, mais également à cause de l'importance de l'envasement. Il est heureux qu'on profite de leur dessèchement pour les dévaser. Cela pourrait à l'avenir améliorer leur capacité de stockage. Il y a aussi un réseau de distribution désuet. Les responsables de l'ADE l'ont reconnu dernièrement : «Il y a 50% de fuites.» Il faut y ajouter que de nouveaux quartiers sont apparus comme Foas ou le lotissement Ibn Khaldoun.
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