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École doctorale de français
L'envers du décor
Publié dans El Watan le 04 - 12 - 2005

Le 28 novembre 2004, dans un article publié dans El Watan, sous le titre : « Ecole doctorale de français bat de l'aile », nous avons attiré l'attention de l'opinion et des responsables sur la situation qui régnait et les risques que pouvait encourir ce projet ambitieux de coopération internationale, le premier du genre en Algérie, si des mesures rapides et énergiques n'étaient pas prises afin de lui redonner son l'élan et corriger sa trajectoire.
Nous avions alors parlé d'un échec annoncé si la partie algérienne continuait à ne pas vouloir mettre en place les structures adéquates, les textes réglementaires définissant de manière précise et claire la nature et le mode de fonctionnement de l'école doctorale ainsi que les moyens financiers nécessaires. Entre-temps une année s'est écoulée et pratiquement rien n'a été fait, et si l'Ecole doctorale de français a pu continuer à fonctionner, ce n'est que grâce à la patience, l'engagement de ses responsables administratifs et scientifiques et la bonne volonté et le soutien de certains responsables au niveau de la tutelle et des universités, sans oublier, bien sûr, la partie française, qui a honoré tous ses engagements.
Rétrospective
Quelques semaines après la publication de l'article en question, comme en retour, et en marge de la session du Conseil mixte de suivi scientifique et technique de l'école, les responsables des pôles centre, est et ouest de l'école ont tenu une réunion avec les responsables de la direction de la post-graduation au cours de laquelle ils ont rédigé conjointement un projet de texte relatif à l'école doctorale qui devait être transmis aux chefs d'établissement après sa signature par le ministre. Il avait également été convenu que les responsables de toutes les antennes de l'école, au nombre de 14, avec 480 étudiants en magistère et environ 120 en doctorat (Alger, ENS Bouzaréah, Blida, Tizi Ouzou, Béjaïa, Constantine, Batna, Biskra, Annaba, Ouargla, Oran, Tlemcen, Mostaganem, Béchar) devaient préparer leurs prévisions budgétaires (paiement des indemnités pour les enseignants algériens, prise en charge des enseignants français pendant leur séjour, frais de transport des doctorants pour les stages en France, prise en charge des séminaires régionaux de spécialité, des réunions des responsables au niveau régional, mise en place et équipement de l'espace qui devait être réservé aux antennes au niveau des établissements, etc.), les faire viser par le recteur de leur établissement et les transmettre au ministère pour qu'elles soient incluses dans les prévisions budgétaires du ministère, chose qui avait alors été faite dans les semaines qui avaient suivi. Les mois sont alors passés sans que le texte ne voit le jour et sans qu'aucun financement pour 2004-2005 ne soit notifié aux universités. C'est alors qu'en marge de la réunion du Conseil national qui s'est tenue en mai au siège du ministère pour la préparation de la rentrée 2005-2006, les responsables de pôles décidèrent de s'adresser au ministre en personne pour l'informer de la situation et de l'impossibilité de démarrer convenablement l'année 2005-2206, qui prévoyait l'entrée d'environ 650 nouveaux étudiants en première année de magistère et l'ouverture de 8 nouvelles antennes (3 au niveau du pôle est, 2 au niveau du pôle centre et 3 au niveau du pôle ouest) conformément au plan de développement de l'école, et lui demander d'intervenir pour qu'un texte relatif à l'école doctorale de français voie le jour, que les différents responsables régionaux et locaux reçoivent des nominations individuelles et que les budgets des antennes soient notifiés aux établissements. Sur intervention du ministre, la machine s'est à nouveau remise en marche et il a été demandé aux chefs d'établissement de donner leur avis et de faire leurs propositions pour un projet d'arrêté ministériel fixant les modalités d'organisation de la formation doctorale dans le cadre d'une école doctorale, ainsi qu'un projet de décision ministérielle portant création de l'Ecole doctorale de français et précisant sa structure et son mode de fonctionnement. L'arrêté, quant à lui, a été signé le 8 juin 2005 sous le numéro 131. Pour ce qui est du texte relatif à l'ouverture de l'Ecole doctorale, qui devrait inclure la nomination collective des responsables, il n'a pas encore vu le jour et selon les informations recueillies, il ne devrait apparaître que sous forme d'une annexe à l'arrêté portant ouverture des postes de magistère de l'Ecole doctorale de français pour l'année 2005-2006 et inclure la nomination collective des responsables. Quant aux dotations budgétaires pour le fonctionnement des antennes et des pôles, les responsables avaient été alors assurés qu'elles seraient dans le budget supplémentaire des établissements pour l'exercice 2005. Dans le même sens, le secrétaire général du ministère avait adressé fin juillet une correspondance aux chefs d'établissement concernés, leur demandant de procéder au paiement des indemnités des enseignants et des responsables de l'école pour l'année 2004-2005 (qui étaient jusque-là non honorés) en attendant la notification du budget des antennes. Mais cette démarche émanant du no 2 du ministère est restée sans suite concrète puisque jusqu'à ce jour, personne n'a été payé.
Déception
A la rentrée, les responsables de l'école, à tous les niveaux, se sont mobilisés pour la réussite du concours d'entrée en première année et de la rentrée 2005-2006, qui devait inclure tous les niveaux de formation (magistère 1, magistère 2, qui nécessitent l'encadrement d'environ 4480 mémoires, doctorat 1, 2, 3, et 4), par engagement, parce qu'ils avaient foi dans le projet et confiants qu'ils étaient après les promesses qui avaient été faites en haut lieu, même si souvent ils avaient dû utiliser leurs propres moyens matériels et financiers pour la réussite de l'opération et qu'il n'avait pas encore vu un traître sou pour les tâches qu'ils avaient accomplies l'année précédente, puisque ce n'était, comme on continuait à le leur répéter, qu'« une question de temps » et que tout serait réglé avec la signature de l'arrêté et la notification du budget des antennes dans le cadre du budget supplémentaire. Au grand étonnement de tout le monde, le budget supplémentaire des universités est arrivé sans qu'il n'y ait nulle part quoi que ce soit de destiné de manière explicite à l'Ecole doctorale. De nouveaux efforts ont été faits par certains responsables au niveau du ministère, et les responsables de l'école ont dû parfois exercer des pressions sachant qu'il était impossible de démarrer l'année dans de telles conditions sans remettre en cause la crédibilité du projet et prendre le risque de son échec, comme le souhaiteraient peut-être certains. C'est alors et enfin que la direction des finances s'est décidée à informer, il y a de cela quelques jours, par une correspondance des plus générales, les chefs d'établissement que les dotations budgétaires contenues dans le BS sous la rubrique « Frais liés au fonctionnement de la post-graduation » étaient réservées au fonctionnement de l'Ecole doctorale de français. Mais la joie ne fut que de courte durée, car il s'est avéré que les sommes contenues dans la rubrique étaient très réduites et ne correspondaient pas du tout à celles contenues dans les budgets prévisionnels des antennes qui avaient été transmis au ministère. En outre, il s'est avéré que ces sommes ne pouvaient servir que pour l'approvisionnement en matériel informatique et audiovisuel (section 3) et ne pouvaient être utilisées ni pour le paiement des indemnités des enseignants et des responsables algériens (section 1), ni pour la prise en charge des enseignants français durant leur séjour en Algérie, ni pour couvrir les frais de transport des doctorants, ni pour les frais de fonctionnement général des antennes, ni même pour l'achat de matériel de bureau (section 2). Donc pas de budget, ni suffisant ni approprié du point de vue de la nomenclature, pour payer les enseignants, pour organiser les séminaires doctoraux, pour prendre en charge les frais de transport (le stage des étudiants de deuxième année de doctorat qui était prévu pour novembre a dû être reporté à janvier pour cause de financement et en attendant le budget supplémentaire !), pour le fonctionnement des antennes qui dans leur ensemble ne possèdent pratiquement pas d'espace, ni de moyen de travail propre au niveau des universités et qui ne tiennent le coup que par la bonne volonté des responsables des établissement, quand elle existe.
Pourquoi ?
On se retrouve donc dans la même situation administrative et financière qu'en novembre 2004, mais avec en plus un malaise et un ras-le-bol général :
8 nouvelles antennes (Mascara, Saïda, Bel Abbès, Médéa, Sétif, M'sila, Oum El Bouaghi) qui ont ouvert et qui sont parrainées et dirigées par des responsables qui se trouvent au niveau d'autres établissements où ils dirigent déjà une antenne (et qui doivent donc être en contact permanent et se déplacer souvent, ce qui demande des moyens matériels : téléphone/fax) et des moyens financiers facilement et rapidement accessibles.
680 nouveaux étudiants qui doivent être formés en plus des 480 de deuxième année qui doivent non seulement être dirigés pour la préparation de leur mémoire, mais aussi suivre des séminaires qui doivent être assurés par une équipe d'enseignants algériens surmenés, saturés, qui travaillent dans le cadre de la mobilité régionale (parfois à plus de 500 km de distance) et qui ont le sentiment d'avoir été bernés, pour ne pas dire trompés ou trahis, et qui, plus grave, n'ont pas encore été payés jusqu'à ce jour.
Des enseignants français (environ 250) qui viennent dans le cadre de la coopération interétatiques (affaires étrangères) et non dans le cadre de la coopération interétablissements, ce qui exige une prise en charge particulière à tous les points de vue.
Des doctorants qui doivent se rendre en France pour suivre des séminaires de spécialité et rencontrer leurs codirecteurs, et pour qui il faut prendre en charge les frais de transport.
Des ateliers doctoraux à assurer en Algérie dans un cadre régional et pour lesquels il faut prévoir une prise en charge.
Des frais de fonctionnement pour les pôles régionaux (déplacement des responsables au niveau des antennes, tenue des réunions des conseils)
Des frais de fonctionnement des antennes elles-mêmes en tant que structures avec des bureaux équipés, des moyens de télécommunication (téléphone, fax et surtout l'accès rapide à Internet/ADSL dans la mesure où tout le travail entre les antennes, entre les pôles et les antennes, les pôles et les pôles et surtout entre l'ensemble de ces structures, et le réseau universitaire français partenaire se fait grâce à cet outil et que le site web de dialogue et de travail entre les deux réseaux de l'Ecole doctorale est situé actuellement au niveau de celui de l'université de Grenoble). Ce récapitulatif donne une idée de l'ampleur des problèmes qui se sont accumulés et de la complexité du projet qui est censé servir de modèle pour le futur et qui permettrait avec des sommes dérisoires (environ 10 millions d'euros) de former dans n'importe quelle discipline environ 2000 docteurs sur une courte période qui ne dépasse pas 6 à 8 années, sans recourir au déplacement des enseignants algériens pour de longues périodes à l'étranger et en favorisant un mouvement sans précédent d'universitaires étrangers vers notre pays, ce qui ne peut qu'être bon pour notre image et l'évolution de notre université. Il n'y a plus aucune excuse pour expliquer cette situation, la convention algéro-française de financement dans le cadre du fonds de solidarité prioritaire et qui était toujours avancé comme argument pour avancer dans l'officialisation du projet a été signée en avril par les deux Etats. Le texte de cadrage de la formation doctorale dans le cadre des écoles doctorales, qui prévoit un chapitre Ecole doctorale dans les budgets des universités, et dont la signature était toujours avancée comme condition pour la signature d'un texte spécifique pour l'école Doctorale de français, a été signé en juin par le ministre. Les prévisions budgétaires des antennes pour 2004-2005 et celles pour 2005-2006 ont été transmises aux ministères visées par les recteurs en temps voulu. Alors que la partie française fonctionne selon ce qui a été convenu et de manière efficace, efficiente, rapide et bien organisée, en respectant ses engagements, nous avons certains qui veulent encore aujourd'hui offrir une « façade », qui donne comme nous l'avons dit, dans le passé, l'impression que le réseau algérien de l'école existe, que tout fonctionne normalement, mais en utilisant en réalité des procédures qui défient le bon sens, qui sont non seulement en inadéquation avec l'arrêté ministériel 131 de juin 2005, mais avec ce qui a été convenu avec la partie française, et qui voudraient gérer financièrement, administrativement et scientifiquement la formation comme de simples post-graduations d'établissements. Le décor a ainsi son envers qu'il faut dénoncer en même temps que ceux qui y contribuent. Pourquoi donc ces retards, pourquoi ces dysfonctionnements ? Surtout lorsqu'à chaque fois on répète que ce projet est stratégique pour la coopération internationale en général et celle algéro-française en particulier, que c'est un projet que le ministre a à cœur, que c'est un projet initié à la demande du président de la République en personne, etc. C'est aux hauts responsables de se mettre à l'écoute directe et sans relais de ceux qui sont sur terrain afin de savoir ce qui se passe réellement et de situer les responsabilités et les responsables des réussites et des échecs. Il suffit de les recevoir. Rien n'explique qu'un projet arrive à se trouver dans une telle situation, à cause des mauvaises volontés, des petits calculs, des ego en mal de satisfaction et qui ne résiste que grâce justement aux bonnes volontés et au dévouement de beaucoup à tous les niveaux.
L'urgence
Ce projet ira droit vers l'échec si, en toute urgence, des mesures des plus énergiques ne sont pas prises pour :
Régler la question du financement du fonctionnement de l'école jusqu'au prochain budget.
Prévoir pour le prochain budget 2006 des antennes, une nomenclature proche de celle des laboratoires de recherche avec en plus la section 1, pour le paiement des indemnités des enseignants et des responsables (donc une ventilation au sein du chapitre Ecole doctorale, du budget des universités, des sommes allouées par section afin d'éviter tout problème au niveau du contrôle financier dans l'utilisation des dotations)
Procéder à la nomination officielle du responsable algérien du projet (qui n'a jusque-là été que désigné et qui fait fonction de co-responsable avec le responsable du côté français), afin que le Comité de pilotage du projet, tel que prévu dans l'accord, soit au complet et qu'il puisse enfin tenir sa première réunion marquant par là son entrée en fonctionnement.
Procéder à la signature de l'arrêté portant création de l'Ecole doctorale de français et la nomination des différents responsables de l'école, notamment ceux des pôles, qui de par leur fonction assurent la coordination entre les antennes, président les Conseils de suivi scientifique et technique régionaux, sont en contact direct avec les responsables du réseau français, les chefs d'établissement concernés et leurs adjoints chargés de la post-graduation et de la coopération et doivent se déplacer au niveau de leur circonscription universitaire pour le suivi et le contrôle et ont donc besoin d'un type et d'un niveau de nomination qui correspondent à leur tâche, et ce, pour la durée du projet.
Procéder à la nomination d'une coordinatrice ou d'un coordinateur pour le réseau universitaire algérien (qui est différent du responsable algérien du projet) parmi les responsables de pôles afin de compléter la structure, lui assurer son caractère national et éviter toute faille dans le fonctionnement au niveau des différents pôles. Il est à souligner que les retards et les dysfonctionnements relevés n'ont pas été sans incidence sur le bon fonctionnement de la structure et sur le moral (et souvent même la santé) de l'ensemble des personnes impliquées dans la formation. Des frondes se sont fait et se font toujours entendre ici et là qui ne sont que des indices de la lassitude et de la réaction fasse à des attitudes qui souvent relèvent du mépris envers des gens possédant le plus haut niveau de formation académique et qui sont impliquées dans le plus haut cycle de la formation supérieure. Selon les principaux concernés, tout a ses limites, aussi bien la patience que l'amour du pays. Ce qui se passe nuit à la renommée de notre pays, de ses responsables au plus haut niveau, et touche à la crédibilité de notre institution universitaire. A bon entendeur salut !


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